
À sa sortie de l’UQAM, où il a obtenu un baccalauréat en communication (profil cinéma) en 2008, Kevin T. Landry se dévoue à la postproduction pendant six ans, alternant d’une boîte de production à une autre pour accompagner divers projets. Sentant toujours l’appel de la réalisation se manifester de plus en plus fort, il se laisse guider par son amie, la réalisatrice Kim St-Pierre, qui l’introduit au Mouvement Kino. Cette école sera sa plus formatrice. « C’est là que j’ai pris confiance en mes moyens et j’ai trouvé le goût de faire les films le fun », confie le cinéaste en entrevue avec Qui fait Quoi.