Léa Clermont-Dion, réalisatrice de l’intime, s’intéresse à la misogynie au temps du numérique
Connue pour ses prises de parole et son engagement féministes, Léa Clermont-Dion chérit depuis sa tendre jeunesse le désir d’être réalisatrice. À 13 ans, entre deux projections à la Cinémathèque québécoise, elle entretient déjà l’ambition de réaliser du cinéma documentaire. Puis, à l’abri des projecteurs, elle met en images « Sandra », un premier court métrage de fiction en 2012 avant de continuer à développer ses propres projets. Ses deux plus récents, « Je vous salue salope : la misogynie au temps du numérique » et « Janette et Filles » sont coïncidemment produits par La Ruelle Films. Guylaine Maroist a d’ailleurs coréalisé le premier, qui prend l’affiche en salle ces jours-ci.