Le projet multimédia « Interférences », proposé par une équipe de finissants de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), a été nommé dans le cadre des PRIX NUMIX dans la catégorie Relève Étudiante – Création Numérique. Cette installation interactive propose un parcours déambulatoire qui combine sons, (...)
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Elodie Meyer, avocate fondatrice de CyberLex, a commencé sa carrière dans le droit des affaires, se spécialisant dans les fusions et acquisitions. Cependant, son intérêt pour la technologie a été éveillé lors d’un dossier de fusion acquisition nécessitant une analyse approfondie, a-t-elle confiée au (...)
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Louise Sicuro, figure bien connue dans le milieu culturel québécois, apporte son expertise en tant que coprésidente du jury Montréal des PRIX NUMIX. Elle partage la tâche avec Scarlett Greco, cheffe du service numérique de Paris Musées. Avec une vaste expérience dans la promotion de la culture (...)
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Dans le monde des affaires d’aujourd’hui, l’intelligence artificielle émerge comme un outil stratégique pour les entreprises, offrant à la fois des opportunités de croissance et des défis à relever. Pour discuter des enjeux de l’IA dans le monde professionnel, Le Lien MULTIMÉDIA a rencontré en marge (...)
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Orangead, start-up formée en 2017 dans le domaine de la publicité, cherche à se démarquer non seulement par son modèle d’affaires, mais aussi par son engagement envers le respect de la vie privée. Bruno Deschênes, l’un de ses cofondateurs, s’est entretenu avec Le Lien MULTIMÉDIA pour présenter son (...)
Suite![[VIDÉO] : Brigitte Monneau (SYNTHÈSE) aide à naviguer l’univers dynamique des industries créatives](local/cache-gd2/aa/0186fe9c3be4374f4654765e37cb64.jpg?1708498322)
Ayant fait carrière en gouvernance et en gestion dans le domaine du divertissement, Brigitte Monneau n’est pas seulement reconnue pour son efficacité : elle démontre un solide profil féministe et de soutien aux personnes émergentes dans le secteur. Entrevue vidéo avec la directrice générale de (...)
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L’industrie de la création numérique, réunissant les secteurs des jeux vidéo, des effets visuels et animation 2D-3D, et des expériences numériques, est en plein essor et compte plus de 140 métiers. Pour mieux s’y retrouver, SYNTHÈSE, dont la mission est d’agir sur le développement des talents en (...)
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Le recteur de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) dit que l’étude publiée par SYNTHÈSE - Pôle image Québec au mois de décembre 2021 sur les enjeux d’adéquation formation-emploi au sein de trois secteurs de l’écosystème québécois en création numérique fait écho dans les institutions d’enseignement supérieur.
Initié en 2018 par le ministère de l’Enseignement supérieur suite à des consultations avec le milieu de la création numérique - La Guilde du jeu vidéo du Québec, le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ) et Xn Québec - SYNTHÈSE - Pôle Image Québec est un pôle d’excellence qui vise à créer le maillage entre l’industrie d’une part et le milieu de l’enseignement supérieur et la recherche d’autre part, explique Brigitte Monneau, directrice générale de SYNTHÈSE à Qui fait Quoi.
Pour plusieurs, l’hyperconnectivité entraine de graves problèmes de santé mentale et physique tant à la maison qu’au travail. Avec un environnement de plus en plus numérisé, il devient complexe de rester concentré et de se déconnecter. En moyenne, un adulte consulte plus de 200 fois son téléphone quotidiennement. Le téléphone cellulaire est pratiquement devenu une extension de l’être humain. Pour favoriser des habitudes numériques saines, l’organisation Vivala s’est engagée à développer des produits et services de bien-être numérique. En entrevue avec Le Lien MULTIMÉDIA, Laurie Michel, fondatrice de Vivala, explique que son organisation a pour but de déconstruire les mauvaises habitudes numériques.
En décembre 2021, SYNTHÈSE – Pôle Image Québec a partagé les résultats de l’étude « Travailler en création numérique : Évolution des métiers graphiques 2D-3D et enjeux de formation ». Suite à un premier forum en 2018 avec Xn Québec et le secteur du numérique, organisé afin d’évaluer les besoins des entreprises et mieux adapter les programmes de formation, le regroupement a voulu faire le point sur le marché de la création numérique. En entrevue, Anne Le Bouyonnec, directrice de projets, expertises et métiers pour SYNTHÈSE se demande notamment « Quels sont les futurs métiers ? ».
À l’aube de sa 6e édition, la Semaine numériQC (SNQC) dévoile en primeur la programmation de son événement qui s’installera au Terminal - Port de Québec du 4 au 8 avril 2022. Pendant cinq jours, plus de 2 500 professionnel·les, gens d’affaires, chercheur·euses, étudiant·es et artistes du numérique se donneront rendez-vous pour assister à la première édition hybride de l’événement phare du numérique.
Implantée en 2018, Simplon Maroc est composée de six fabriques numériques réparties sur le territoire marocain. Ces campus numériques permettent aux apprenants de développer une expertise dans un métier du numérique. Pour le moment, cette initiative de l’entreprise sociale a permis de former 696 apprenants dans un emploi en développement Web. Dans ces centres de haute technologie, Simplon Maroc favorise la pédagogie de ses apprenants avec l’apprentissage par compétences. En entrevue avec Le Lien MULTIMÉDIA, Karima Fennane, responsable administrative et financière chez Simplon Maroc, explique que les différentes initiatives de l’entreprise ont de nombreux bénéfices sur la transformation numérique du pays.
Fondée en 2019, Simplon Maroc forme et accompagne gratuitement des jeunes de divers profils dans la transformation numérique. L’entreprise sociale et solidaire a lancé le Projet Kids, pour sensibiliser les enfants de 8 à 14 ans à l’univers numérique. À travers cette initiative, Simplon Maroc s’est engagée à initier 500 enfants à travers le Projet Kids. Activités de robotique, initiation au codage et ateliers sur le numérique sont au programme pour les enfants participants au Projet Kids. En entrevue avec Le Lien MULTIMÉDIA, Karima Fennane, responsable administrative et financière chez Simplon Maroc, estime que l’initiation au numérique est primordiale pour le développement professionnel des jeunes.
Les Éditions JFD dévoilent le lancement du « Manifeste à propos des femmes en STIM » rédigé sous la direction de Louise Lafortune (professeure émérite, UQTR), Audrey Groleau (professeure titulaire, UQTR) et Claire Deschênes (professeure émérite, Université Laval).
« Il est encore difficile d’intéresser les entreprises canadiennes à l’Afrique, surtout dans des secteurs qui sont moins mis à l’avant », déplore Karl Miville-de Chêne. L’homme qui travaille depuis plus de 30 ans sur la scène internationale croit qu’il est grand temps de mettre le cap sur l’Afrique et d’entamer des collaborations pérennes sur le plan numérique entre le continent et le Québec.
C’est dans un contexte marqué par la pandémie que Diogale a créé son centre de formation pour la transformation numérique. Contrairement à plusieurs organismes, Diogale utilise une démarche axée sur l’accompagnement avec les chefs d’entreprise. Les outils numériques sont au coeur de son processus qui commence à se faire davantage connaître sur le territoire français. En entrevue avec Le Lien MULTIMÉDIA, Doudou Diouf, président et fondateur de Diogale, explique comment son modèle d’accompagnement permet aux entreprises françaises de mieux comprendre le principe de transformation numérique.
La transformation numérique a touché de nombreux secteurs dont celui de la formation. En France, ce tournant vers le numérique semble ardu en raison de la difficulté à accepter le changement. Heureusement, des organismes de formations enseignent aux entreprises à passer vers le numérique. Diogale, un centre de formation établi en France, offre un service d’accompagnement à l’aide d’outils numériques tels que le No-code. En entrevue avec Le Lien MULTIMÉDIA, Doudou Diouf, président et fondateur de Diogale, explique en quoi la transformation numérique est devenue la nouvelle réalité du métier de formateur.
Comment communiquer de façon objective l’expérience du consommateur ? C’est la question que se pose RE-AK Technologies. La start-up co-fondée par le Québécois Frédéric Simard propose une plateforme d’analyse émotionnelle, cognitive et comportementale basée sur les dernières avancées en matière d’intelligence artificielle et de biométrie.
Avec le monde numérique d’aujourd’hui, les entreprises technologiques peinent à trouver assez de relève pour combler les postes dans l’industrie. La pénurie de main-d’oeuvre dans ce secteur amène une réflexion sur les solutions pour pallier ce problème criant. L’OBNL Québec Numérique a pour but de dynamiser la communauté numérique de la Capitale-Nationale et d’amener une relève aux entreprises du numérique. Pour ce faire, l’organisme a créé 42 Québec, un centre de formation pour programmeurs. En entrevue avec Le Lien MULTIMÉDIA, Dominic Goulet, directeur général de Québec Numérique, explique comment l’éducation par les pairs s’articule au centre de formation 42 Québec.
Certaines personnes peuvent se demander : les émotions sont-elles appropriées au travail ? Richard Hua, stratège mondial principal et fondateur du programme EQ & Success chez Amazon Web Services, reformule la question : les émotions sont-elles évitables au travail ? La réponse, dit-il, est en fait non.