Gabriel Vilandré sur le plateau de «Madame Mollard».
Photo: Courtoisie
Avec « Madame Mollard », Gabriel Vilandré épouse une ambiance plus légère
Gabriel Vilandré avoue scénariser sous l’impulsion. Plutôt que de chercher à aborder spécifiquement des thèmes ou des enjeux, il se laisse inspirer, puis guider, par le récit et les personnages qu’il met en scène. Dans le cas de « Madame Mollard », il a imaginé une histoire, celle d’Amélie et de son copain découvrant un vieux piano sur le gazon d’une propriété en banlieue. De là s’est dessiné un court métrage évoquant le deuil et la mémoire présenté dans la compétition québécoise du 5e Festival Plein(s) écran(s).