Pour le réalisateur, c’est un vieux rêve qui devient soudainement réalité. « J’ai enseigné en tant que chargé de cours à Chicoutimi, à Concordia et à l’École nationale de théâtre et j’ai beaucoup aimé cette expérience, dit-il. C’est un peu un rêve que j’avais mis de côté dans ma vie et qui est soudainement réapparu lorsque l’INIS m’a approché pour relever Colette Loumède. » Pour le cinéaste, pas question de changer les grandes lignes du programme qui a été mis sur pied par sa prédécesseure. « Ce que Colette [Loumède] a créé ces dernières années est solide, dit-il. Il n’était pas question pour moi de partir de zéro. Je vais ajouter quelques petits trucs qui m’importent, mais dans l’ensemble, je veux agir dans la continuité. » Le Lien MULTIMÉDIA a rencontré le cinéaste.
14 septembre 2009, 11h40