Avec « La part du diable », Luc Bourdon plonge dans les années 1970 des cinéastes de l’ONF
Le cinéaste Luc Bourdon répète l’exercice qu’il avait fait avec « La mémoire des anges » : fouiller la mémoire des archives de l’Office national du film pour en tirer une oeuvre à la fois historique et poétique. Dans son précédent film, il se penchait sur les années 1950 jusqu’au début des années 1960. Dans « La part du diable », il s’attaque à la fin des années 1960 jusqu’au début des années 1980. Dans ce film, il retrouve son complice Michel Giroux au montage et Catherine Van Der Donckt à la conception sonore. Nous l’avons rencontré pour comprendre sa réflexion.