15 ans après « 5150 rue des Ormes », Éric Tessier revient à l’horreur et adapte pour le cinéma le roman « Flots » de Patrick Senécal. Il assure l’écriture du scénario et sera à la réalisation de ce long métrage racontant l’histoire de Florence, une petite fille de 8 ans, qui entraine ses (…)
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Parmi sa gamme d’événements spéciaux au programme de sa 28e édition, le Festival international de films Fantasia a organisé une table ronde où les productrices de films de genre Anne-Marie Gélinas, Dominique Dussault, Félize Frappier et Julie Groleau, ont pu partager leurs perspectives sur (…)
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Après « Sur le seuil » et « 5150, rue des Ormes », Éric Tessier veut plonger une fois encore dans l’univers de Patrick Sénécal en adaptant au cinéma « Flots », l’avant-dernier roman de l’écrivain phare de l’horreur a Québéc, publié en 2021. Le réalisateur a donc fait appel à la productrice (…)
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Habituée au cinéma de genre, Anne-Marie Gélinas prépare « Macîskotêw (Evil Fire) », un thriller fantastique réalisé par TJ Cuthland, réalisateur queer originaire de Régina, en Saskatchewan. Pour ce projet, la fondatrice d’EMAfilms s’associe à la jeune boîte torontoise Fanning Feathers, (…)
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Outre la rigidité administrative qui sera revue dans la négociation de plusieurs traités avec des pays étrangers, la coproduction cinématographique possède son lot de défis. Barrières linguistiques et faible enveloppe budgétaires sont des aspects qui ont été soulevés par les producteurs (…)
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Le Canada est résolument tourné vers la coproduction. Le pays a signé 59 traités bilatéraux sur tous les continents et les insitutions publiques mettent de l’avant de nombreuses initiatives pour favoriser la coproduction. Or, peu de producteurs québécois ou canadiens se prêtent à (…)
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C’est Ken Proulx, un ancien collègue chez EMAfilms, qui a présenté Tracey Deer à Anne-Marie Gélinas. À l’époque, soit en 2012, la réalisatrice travaillait sur la série « Mohawk Girls » et la volonté politique d’écouter les histoires autochtones ne se manifestait pas encore, pas même celle (…)
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15 ans après « 5150 rue des Ormes », Éric Tessier revient à l’horreur et adapte pour le cinéma le roman « Flots » de Patrick Senécal. Il assure l’écriture du scénario et sera à la réalisation de ce long métrage racontant l’histoire de Florence, une petite fille de 8 ans, qui entraine ses proches dans une descente aux Enfers dont personne ne sortira indemne.
Parmi sa gamme d’événements spéciaux au programme de sa 28e édition, le Festival international de films Fantasia a organisé une table ronde où les productrices de films de genre Anne-Marie Gélinas, Dominique Dussault, Félize Frappier et Julie Groleau, ont pu partager leurs perspectives sur leur métier. Animée par le programmateur Marc Lamothe, la discussion s’est naturellement orientée vers les défis de la profession – autant pour les femmes que pour le cinéma de genre lui-même –, souvent caractérisés par le manque de financement institutionnel. Qui fait Quoi a assisté à la rencontre pour rendre compte du point de vue des panélistes face à cette réalité.
Après « Sur le seuil » et « 5150, rue des Ormes », Éric Tessier veut plonger une fois encore dans l’univers de Patrick Sénécal en adaptant au cinéma « Flots », l’avant-dernier roman de l’écrivain phare de l’horreur a Québéc, publié en 2021. Le réalisateur a donc fait appel à la productrice Anne-Marie Gélinas et ensemble, ils participaient au Marché de coproduction Frontières dans le but de recruter des partenaires pour leur projet. Qui fait Quoi est allé à la rencontre du duo lors de cet événement professionnel se déroulant en parallèle du Festival international Fantasia.
Habituée au cinéma de genre, Anne-Marie Gélinas prépare « Macîskotêw (Evil Fire) », un thriller fantastique réalisé par TJ Cuthland, réalisateur queer originaire de Régina, en Saskatchewan. Pour ce projet, la fondatrice d’EMAfilms s’associe à la jeune boîte torontoise Fanning Feathers, dirigée par Sera-Lys McArthur, qui avait produit « Kwêskosîw : She Whistles », court métrage qui sert de point de départ à ce nouveau scénario. Les deux collègues ont participé à la plus récente édition du Marché Frontières avec ce film à venir. Anne-Marie Gélinas en a discuté davantage en compagnie de Qui fait Quoi.
Outre la rigidité administrative qui sera revue dans la négociation de plusieurs traités avec des pays étrangers, la coproduction cinématographique possède son lot de défis. Barrières linguistiques et faible enveloppe budgétaires sont des aspects qui ont été soulevés par les producteurs Pierre Even (Item 7), Galilé Marion-Gauvin (Unité Centrale) et Anne-Marie Gélinas (EMAfilms) dans un échange avec Marielle Poupelin, directrice promotion internationale à Téléfilm Canada et animé par Michel Pradier, consultant en financement audiovisuel, dans le cadre du Forum du Festival du nouveau cinéma.
Le Canada est résolument tourné vers la coproduction. Le pays a signé 59 traités bilatéraux sur tous les continents et les insitutions publiques mettent de l’avant de nombreuses initiatives pour favoriser la coproduction. Or, peu de producteurs québécois ou canadiens se prêtent à l’exercice. Voilà pourquoi le Festival du nouveau cinéma a réuni Marielle Poupelin, directrice, promotion internationale chez Téléfilm Canada, Anne-Marie Gélinas, productrice et fondatrice d’EMAfilms, Galilé Marion-Gauvin, producteur et président d’Unité Centrale, Pierre Even, producteur et président d’Item 7 et Marielle Duigou, productrice pour la société française Fin Août Productions dans une discussion animée par Michel Pradier pour échanger sur les enjeux liés à ce type de partenariat international.
C’est Ken Proulx, un ancien collègue chez EMAfilms, qui a présenté Tracey Deer à Anne-Marie Gélinas. À l’époque, soit en 2012, la réalisatrice travaillait sur la série « Mohawk Girls » et la volonté politique d’écouter les histoires autochtones ne se manifestait pas encore, pas même celle d’assurer des mesures paritaires, ce qui est survenu quelques années plus tard, rappelle la productrice. Elle s’est tout de même associée avec la cinéaste mohawk pour un premier projet de long métrage, « Beans », qui relate la crise d’Oka à travers les yeux d’une jeune fille de 12 ans et qui a pris l’affiche le 2 juillet.
![[FNC Forum] Financement du cinéma d’auteur](local/cache-gd2/9d/086d16910012532f9de8997d63cef3.jpg?1726262884)
Le financement du cinéma d’auteur demeure au coeur de la création cinématographique au Québec. Mais, avant tout, encore faut-il se mettre d’accord sur le terme cinéma d’auteur. Pour y réfléchir, les organisateurs du FNC Forum ont réuni Pauline Couture, Co-PDG de BlockFilm, Anne-Marie Gélinas, fondatrice d’EMAfilms, Nathalie Clermont, vice-présente, Progammes et développement d’affaires du Fonds des médias du Canada, Johanne Larue, directrice générale de la SODEC, et Marie-France Godbout, directrice nationale longs métrages marché francophone chez Téléfilm Canada, dans une discussion animée par Ilann Girard, fondateur et dirigeant d’Olffi.
Avec « Slaxx », Elza Kephart emprunte au genre du slasher pour émettre un grinçant commentaire sur la mode rapide (fast fashion), une industrie qu’elle considère extrêmement nocive pour la planète. À partir d’un scénario coécrit avec Patricia Gomez Zlatar, qui coproduit également le long métrage aux côtés d’Anne-Marie Gélinas d’EMAFilms, la cinéaste a insufflé une dimension sociale à son film d’horreur, genre qui commence à faire de plus en plus sa place au Québec.
C’est au sein de Productions Jeux d’Ombres qu’Anne-Marie Gélinas a accompagné son premier film en coproduction, « Où vas-tu Moshé ? ». Mais au-delà de ce premier partenariat avec l’étranger, la productrice a souvent voyagé pour le besoin de ses projets. « Zigrail » d’André Turpin, sa première production en long métrage, a été tournée dans neuf pays d’Europe. Puis, les projets de cinéma ou de télé qui se sont succédés pour elle ont longtemps été motivés par le désir de découvrir une nouvelle destination. Petit à petit, elle s’est familiarisée avec la coproduction et c’est sous sa compagnie de production que la fondatrice d’EMAFilms a concrétisé la grande majorité de ses collaborations internationales.
En coproduction, il n’est pas toujours facile de concilier l’apport financier et créatif. Certains accords entre les différents pays stipulent qu’un pourcentage doit être respecté par le pays coproducteur. Des dérogations sont parfois permises, mais les proportions minimums établies par les traités entre le Canada et les autres pays peuvent compliquer le travail des producteurs canadiens, surtout lorsqu’ils sont en situation de coproduction minoritaire. Heureusement, les projets demeurent motivants pour les maisons de production d’ici, ce qui les motive à poursuivre ce genre de partenariats avec l’international, et ce, malgré les nombreux défis. C’est le cas de l’entreprise EMAFilms.
Après quelques récents projets dont « Un printemps d’ailleurs », premier long métrage de fiction de Xiaodan He, et « La couleur de tes lèvres », court métrage d’Annick Blanc, Geneviève Huot se retrouve sur le plateau de « Slaxx », comédie d’horreur d’Elza Kephart en tournage jusqu’au 10 mars. Renouant avec la productrice Anne-Marie Gélinas d’EMAFilms après « Yzkor », la directrice artistique doit, notamment, concevoir l’habillage d’une boutique de vêtements branchée, lieu principal dans lequel se déroule ce slasher. Qui fait Quoi a discuté avec cette dernière entre deux prises.
Présenté au Marché Frontières à Fantasia en 2017, le projet « Slaxx » est maintenant prêt à prendre vie. Depuis le 12 février dernier, Elza Kephart immortalise les images de son slasher imaginé aux côtés de Patricia Gomez Zlatar qui coproduit le long métrage d’horreur avec Anne-Marie Gélinas d’EMAFilms. Le récit demeure le même : celui d’une paire de jeans animée par un esprit vengeur qui se met à assassiner un à un les employés d’une boutique de vêtements. Qui fait Quoi a rencontré la réalisatrice sur le plateau pour discuter de sa démarche.
Filmoption International tiendra la grande première nord-américaine de « Troisièmes noces », écrit et réalisé par David Lambert, le mardi 5 février au Cinéma du Musée (1379-A, rue Sherbrooke Ouest, Montréal, H3G 1J5) en présence de David Lambert, Rachel Mwanza et Anne-Marie Gélinas coproductrice du film.