Martin Messier prépare une tournée en 2024

Martin Messier reprendra son cycle de tournée au printemps prochain, avec des dates disponibles en Europe du mois de mai à juin 2024.
Martin Messier reprendra son cycle de tournée au printemps prochain, avec des dates disponibles en Europe du mois de mai à juin 2024.
L’équipe du Lien MULTIMÉDIA vous présente la 179e édition de CONVERGENCE, le magazine de l’entreprise et de la culture numérique. Disponible en PDF à télécharger, ce magazine de 75 pages est optimisé pour lecture sur une tablette ou un écran d’ordinateur. Dans ce numéro, la parole est donnée aux artistes et entrepreneur·e·s interviewé·e·s par nos journalistes : Patrick Bossé, réalisateur et Jean-Philippe Turgeon et Pascal Pelletier, producteur du film immersif sur René Derouin « Territoire des Amériques » (en couverture), Ghislain Picard, Farah Alibay, Douglas Mbiandou, Francesca Rossi (IBM), Hannah Bronfman, Lisa Loud, Orphée Okito, VEEBY, Martin Messier, Alexandre Castonguay, Yoan Boisjoli, Ourielle Auvé et plusieurs autres.
L’artiste Martin Messier a présenté son tout nouveau spectacle « Con Sordina » pour la première fois à l’Usine C. Une oeuvre touchante et bouleversante qui utilise le son, la lumière et le corps pour traiter du thème du cri. Le Lien MULTIMÉDIA a parlé à son créateur pour en apprendre plus sur cette performance. Attention : divulgâcheur.
De retour d’Espagne, où il effectuait une résidence avec le LEV Festival, Martin Messier a été contraint de vivre une quarantaine sanitaire. Après 14 jours passés dans son studio de répétition à Montréal, il a enfin pu rentrer chez lui sain et sauf. Une expérience qu’il n’est pas près d’oublier, bien que grâce à l’aide de sa famille, les choses ne se sont pas si mal passées. Entrevue vidéo avec Martin Messier, depuis son studio de confinement, à la veille de son retour chez lui, pour qu’il nous raconte les circonstances de son rapatriement au Québec, ses 2 semaines de quarantaine et l’impact de la crise sanitaire sur ses projets artistiques.
L’équipe du Lien MULTIMÉDIA est ravie de vous présenter la 150e édition de CONVERGENCE, le magazine de l’entreprise et de la culture numérique. Disponible à www.lienmultimedia.com/conve... en version flash à feuilleter en ligne et en PDF, ce magazine de 77 pages est optimisé pour lecture sur une tablette ou un écran d’ordinateur.
Tout à la fois concepteur de la chorégraphie, du son et de la lumière de « Innervision », Martin Messier s’est lancé dans une création de grande ampleur pour l’édition 2019 du FTA de Montréal. La pièce de danse contemporaine, qui réunit soixante interprètes, joue de plus sur la spontanéité du mouvement, les consignes chorégraphiques étant données en direct par le chorégraphe grâce à un système d’oreillettes. Un spectacle gratuit à voir à ciel ouvert, du 29 mai au 1er juin 2019 à 21h, sur la Place des Festivals. Entrevue avec Martin Messier, chorégraphe de « Innervision », pour discuter plus en détails de son processus de création, de ses intentions artistiques et des défis qu’il a surmontés.
Au coeur du Quartier des spectacles, une fougueuse escouade est sur la corde raide. Tel un chef d’orchestre, Martin Messier dirigera en direct 60 danseurs professionnels dans un grand ballet de fin du monde. En spasmes ou en vagues, la masse pulse comme un seul corps, s’ouvre et se replie, fonce ou se terre.
Le Printemps numérique (PN) vient d’annoncer que Marie Brassard et Martin Messier sont les porte-parole de son édition 2015.
Artiste de l’installation, de la performance, électroacousticien et vidéaste, le Montréalais Martin Messier intègre souvent danse et robotique à ses nombreux spectacles sonores. Il présentait à l’hiver 2010 en compagnie de Nicolas Bernier, musicien collaborateur et directeur artistique du festival Akousma, une version quadraphonique de La Chambre des machines, en première au festival Transmediale de Berlin. Au début de l’été, une édition stéréophonique de ce spectacle était accompagnée de vidéos réalisées par le prolifique collectif Foumalade (vidéoclip du Husky, jingle du site Les Frères du son, photos de casting et de mode...) , dans le cadre des soirées A/Vision de Mutek. Cette même performance passait ensuite par Barcelone à Sonar... [Photo : Caroline Hayeur / Agence Stock Photo.com]
Dire que Martin Messier et Nicolas Bernier sont occupés ces jours-ci est un euphémisme. Dévouant tout leur temps à leur création dans le Rustine_Lab de Perte de Signal, c’est de justesse que Le Lien MULTIMÉDIA a réussi à les asseoir dans un café pour en savoir un peu plus sur leur nouveau projet audio : La chambre des machines. « Martin et moi donnions nos spectacles l’un après l’autre lors des Escales improbables, explique Nicolas Bernier. On s’est rendu compte qu’on avait plusieurs points en commun dans nos démarches et on parlait de faire éventuellement un projet ensemble. Quand le festival Transmediale nous a approchés chacun de notre côté pour qu’on vienne présenter certaines de nos œuvres, on leur a proposé d’en créer une nouvelle en collaboration pour l’occasion. »
Selon l’organisateur du festival Akousma, Nicolas Bernier, une centaine de personnes se sont massées dans la salle du Monument national pour écouter le Projet pupitre de Martin Messier et Jacques Poulin-Denis. « Je pense que c’est la première fois que je vois un “standing ovation” à Akousma », dit-il. Le concept original derrière la performance y est pour beaucoup. La pièce électroacoustique d’une quarantaine de minutes est entièrement jouée sur des pupitres. Crayons, verres, agrafeuses et élastiques deviennent autant d’instruments dont se servent les artistes pour mener à bien leur performance.
Spectres enlacés est une expérience inspirée de l’écoute dite acousmatique puisque l’auditeur se voit suggérer de porter un masque de sommeil lors de l’écoute. Visitant un espace inconnu et ne sachant plus où il se trouve, la vision de celui-ci en est réduite et le son devient maintenant le centre de son attention. L’auditeur se révèle donc transporté dans un nouvel espace où les spectres sonores se réunissent pour s’entremêler et fusionner. Entre le 7 et le 16 novembres à Rustines | Lab - Perte de Signal (2244, Larivière, Montréal). [Crédit photo : Véronique Béland]