La Boîte à Fanny souligne que le court métrage « Chat mort » d’Annie-Claude Caron et Danick Audet, mettant en vedette Léane Labrèche-Dor et Pierre-Yves Cardinal, fait partie des 15 courts métrages de fiction sélectionnés pour la shortlist des Oscars, dans la catégorie Live Action Short (...)
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Après le Festival du film de Tribeca, où ils ont remporté le prix du Best Narrative Short Film, Annie-Claude Caron et Danick Audet sont de retour à la maison avec leur premier court métrage professionnel « Chat mort ». Le film était inscrit dans le programme de la soirée d’ouverture du 42e (...)
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La Boîte à Fanny et Maison 4:3 sont fiers d’annoncer que le premier long métrage des coréalisateurs Marie-Hélène Viens et Philippe Lupien, « Vous n’êtes pas seuls » entamera ses 24 jours de tournage demain, le 26 octobre.
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La boîte à Fanny mentionne que le court métrage « Chat mort » d’Annie-Claude Caron et Danick Audet, mettant en vedette Léane Labrèche-Dor et Pierre-Yves Cardinal, s’est mérité le prix du Best Narrative Short Film au prestigieux Festival de Tribeca, à New (...)
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Téléfilm Canada annonce le financement de 32 longs métrages, dont 25 projets du marché anglophone et 7 projets du marché francophone dans le cadre du volet des productions à petit budget du Programme de production pour l’année fiscale 2023-2024, ce qui représente un engagement financier total de (...)
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Huit nouveaux projets de courts métrages (fiction et documentaire) et un projet numérique narratif de format court recevront un soutien de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) dans le cadre du programme d’aide à la production. L’aide est distribuée au volet 2 (aide (...)
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La boîte à Fanny annonce que le court métrage « Chat mort » d’Annie-Claude Caron et Danick Audet, mettant en vedette Léane Labrèche-Dor et Pierre-Yves Cardinal, aura sa première mondiale au prestigieux Festival de Tribeca, en sélection officielle dans la catégorie compétitive Narrative (...)
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Le Festival du nouveau cinéma de Montréal (FNC) vient d’annoncer que « Bootlegger » de Caroline Monnet donnera le coup d’envoi de sa 50e édition le 6 octobre prochain au Cinéma Impérial. C’est « Archipel » de Félix Dufour-Laperrière qui clôturera les festivités le 17 octobre.
L’Académie canadienne du cinéma et de la télévision dévoile les finalistes de la neuvième édition des Canadian Screen Awards/prix Écrans canadiens, qui célèbrent depuis 2013 la créativité et le talent des artistes et des artisan.e.s de partout au pays.
La direction générale du cinéma et de la production télévisuelle de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) soutiendra six projets à l’étape de la production dans le cadre de son programme d’aide à la création émergente, à la suite du dépôt du 30 septembre dernier.
Le 16 septembre, le ministre du Patrimoine canadien Steven Guilbeault a organisé une assemblée publique avec la communauté canadienne de la production cinématographique dans le cadre de l’élaboration du plan de relance post-pandémique du ministère du Patrimoine canadien pour les industries culturelles. La séance était co-modérée par Reynolds Mastin de la Canadian Media Producers Association (CMPA) et Hélène Messier de l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM). Quatre intervenants ont été choisis par le cabinet du ministre du Patrimoine canadien en fonction des soumissions qu’ils ont faites dans le cadre du processus de consultation pour poser des questions précises au ministre.
Le grand public connaît surtout Léane Labrèche-Dor pour ses rôles rigolos dans « SNL Québec » ou « Le nouveau show », mais la diplômée de l’École nationale de théâtre du Canada (2012) a d’autres cordes à son arc. C’est au théâtre, dans « J’accuse », dans une mise en scène par Sylvain Bélanger au Théâtre d’Aujourd’hui que Fanny-Laure Malo découvre une autre facette de la comédienne. La productrice a donc suggéré au réalisateur Martin Laroche de faire passer la jeune femme en audition pour le rôle de Valérie dans « Le rire ».
La direction générale du cinéma et de la production télévisuelle de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) soutiendra 17 projets en scénarisation dans le cadre de son Programme d’aide à la scénarisation (aide sélective aux entreprises de production – volet 1), à la suite du dépôt du 30 octobre 2019.
D’habitude, Fanny-Laure Malo tourne un court métrage avant de se lancer dans un projet de long métrage avec un réalisateur avec qui elle n’a jamais travaillé. Ce ne fut cependant pas le cas pour « Le rire », le plus récent film de Martin Laroche, que La Boîte à Fanny a produit. Il faut dire que les deux avaient passé du temps ensemble lors d’un festival, parlant longuement de leur vision respective du cinéma. Lorsqu’elle a lu le scénario, elle a tout de suite adhéré au propos de cet ovni cinématographique.
Après deux films autoproduits et à petits budgets, « Les manèges humains » (2013) et « Tadoussac » (2017), Martin Laroche avait envie de traiter de plusieurs thèmes dans son film « Le rire », dont les conséquences de la guerre, la résilience et le syndrome du survivant. Surtout, il n’avait pas envie de se censurer, ayant essayé de plaire aux institutions de financement, aux producteurs ou aux distributeurs, comme pour ces deux films précédents. « Là, j’avais le goût de faire le film que j’avais dans mes tripes », confie-t-il à Qui fait Quoi lors d’une entrevue.
Maison 4:3 et La Boîte à Fanny préparent la sortie au Québec du prochain long métrage de Martin Laroche, « Le Rire », le 31 janvier 2020. Produit par Fanny-Laure Malo de La Boîte à Fanny, ce troisième long métrage du scénariste-réalisateur Martin Laroche (« Tadoussac », « Les Manèges Humains ») met en vedette Léane Labrèche-Dor, Micheline Lanctôt, Alexandre Landry, Sylvie Drapeau, Jean-Sébastien Courchesne, Normand Daoust, Catherine Proulx-Lemay, Christine Beaulieu et Evelyne de la Chenelière.
La réalisation en duo n’est pas donnée à tous. Pour Philippe Lupien et Marie-Hélène Viens, partenaires de vie comme derrière la caméra, cette association s’est imposée naturellement. Ensemble, ils ont créé « Fernand le grand », « Amen » et « Nous sommes le freak show », trois courts métrages où ils ont pu parfaire un travail collaboratif et complémentaire. De l’idée jusqu’au montage, ils ont parcouru les différentes facettes de leur démarche à l’occasion d’une rencontre intitulée « Voir double : la réalisation en duo » qui s’est déroulée lors de la 23e édition du Festival REGARD.
Après avoir collaboré à « Impetus », long métrage entre fiction et documentaire de Jennifer Alleyn présenté lors de la 21e édition des Rencontres internationales du documentaire de Montréal, et à « Gold », le deuxième long métrage d’Éric Morin tourné à Rouyn-Noranda, Marie-Hélène Lavoie se retrouve engagée sur « Le rire », le plus récent projet cinématographique imaginé par Martin Laroche. La directrice artistique doit notamment composer avec un univers réaliste ponctué de moments plus oniriques. C’est sur le plateau que Qui fait Quoi a discuté avec elle.
Constamment actif dans le milieu cinématographique, Mathieu Laverdière cumule les projets cinématographiques les plus variés. Récemment, il a participé à « Chien de garde » de Sophie Dupuis, « Avant qu’on explose » de Rémi St-Michel et « Nous sommes les autres » de Jean-François Asselin. Il vient également de terminer le tournage du plus récent film de Martin Laroche, « Le rire », où il a accompagné le cinéaste sur son premier projet de long métrage financé par les institutions. Qui fait Quoi a rencontré le directeur photo sur le plateau alors que l’équipe en était au 21e jour de tournage.
Contrairement à « Tadoussac » et « Les manèges humains », le plus récent long métrage de Martin Laroche, « Le rire » est une proposition moins traditionnelle d’un point de vue narratif et qui explore une dimension un peu plus surréaliste. En revanche, le réalisateur met de nouveau à l’avant-plan un personnage féminin, dans le cas présent celui de Valérie, une préposée aux bénéficiaires travaillant dans un CHSLD devant composer avec le syndrome du survivant. « C’est une réflexion sur l’humour en fonction du tragique à partir d’une personne qui a vécu quelque chose d’horrible et qui voit la vie du bon côté », indique le cinéaste rencontré sur le plateau où l’équipe achève actuellement le tournage du film.
À propos du plus récent projet de long métrage qu’elle produit, « Le rire », Fanny-Laure Malo confie être complètement tombée sous le charme du scénario que lui a soumis Martin Laroche. Face à une proposition qui ne ressemblait à rien d’autre qui s’était fait précédemment au Québec, la productrice s’est mise comme défi de convaincre les institutions de financer un film aussi ambitieux. « C’est la combinaison d’un univers complètement réaliste avec un autre totalement surréaliste, mais les deux cohabitent dans un monde qui se peut », précise-t-elle alors que Qui fait Quoi l’a rencontrée sur le plateau lors du 21e jour de tournage.