Le Printemps numérique a remis un don de 5000$ aux Espaces jeunesse des services sociaux N8wkika du Conseil tribal W8banaki, à l’occasion d’un Café numérique à Odanak le 4 juillet.
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Depuis quelques semaines, Sarah Provencher-Bordeleau s’engage bénévolement auprès du Code des filles en tant que membre gouverneure – ou ambassadrice – de l’organisme québécois sur le territoire montréalais. La spécialiste en expérience-utilisateur chez Ubisoft voit dans ce mandat une nouvelle façon (...)
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Ubisoft vient d’annoncer la nomination de Pierre-Jules Tremblay à titre de directeur général d’Ubisoft Montréal. Il succède à Christophe Derennes, qui assure désormais le poste de directeur général de la zone nord-américaine.
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À l’instar de ses pairs de l’industrie des effets visuels et de l’animation, Mathieu Boucher remet en question la décision du gouvernement provincial de plafonner le crédit d’impôt dont le milieu bénéficiait. D’après le vice-président opérations du studio Hybride, ce choix aura des retombées (...)
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Le géant de l’industrie du jeu vidéo, Ubisoft, encourage les membres de sa communauté de joueurs à exercer ses talents de photographe via l’outil « photomode », qu’il inclut désormais dans la majorité de ses jeux. Cet appareil photo virtuel permet de prendre des clichés au sein même des univers (...)
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Les studios d’Ubisoft à Montréal accueillent pour la première fois ce mercredi les lauréates du concours « Photomode 2024 » : une vingtaine de photographies sélectionnées par un jury parmi des centaines de soumissions. En effet, pour une seconde fois, le géant de l’industrie du jeu vidéo a invité (...)
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Après plusieurs éditions annuelles réunissant plus de 70 studios indépendants dans différentes régions du Québec, la Caravane entrepreneuriale en région revient avec une nouvelle formule, comprenant deux circuits distincts sur la commercialisation pour les studios intermédiaires et (...)
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Le Printemps numérique a remis un don de 5000$ aux Espaces jeunesse des services sociaux N8wkika du Conseil tribal W8banaki, à l’occasion d’un Café numérique à Odanak le 4 juillet.
Depuis quelques semaines, Sarah Provencher-Bordeleau s’engage bénévolement auprès du Code des filles en tant que membre gouverneure – ou ambassadrice – de l’organisme québécois sur le territoire montréalais. La spécialiste en expérience-utilisateur chez Ubisoft voit dans ce mandat une nouvelle façon de contribuer au bien-être communautaire dans son milieu professionnel, encore aux prises selon elle à des problèmes d’inclusivité. Le Lien MULTIMÉDIA a discuté de la situation avec elle.
Ubisoft vient d’annoncer la nomination de Pierre-Jules Tremblay à titre de directeur général d’Ubisoft Montréal. Il succède à Christophe Derennes, qui assure désormais le poste de directeur général de la zone nord-américaine.
À l’instar de ses pairs de l’industrie des effets visuels et de l’animation, Mathieu Boucher remet en question la décision du gouvernement provincial de plafonner le crédit d’impôt dont le milieu bénéficiait. D’après le vice-président opérations du studio Hybride, ce choix aura des retombées négatives, non seulement sur les entreprises spécialisées partout dans le domaine, mais également chez ses collaborateurs qui opèrent en périphérie. Qui fait Quoi est allé le retrouver à la réunion des patrons du milieu pour discuter de la problématique.
Le géant de l’industrie du jeu vidéo, Ubisoft, encourage les membres de sa communauté de joueurs à exercer ses talents de photographe via l’outil « photomode », qu’il inclut désormais dans la majorité de ses jeux. Cet appareil photo virtuel permet de prendre des clichés au sein même des univers vidéoludiques, non seulement pour exprimer la créativité de ses utilisateurs, mais aussi pour conserver et diffuser le travail de ses concepteurs. Le Lien MULTIMÉDIA a discuté de la pertinence de cette démarche avec Amélie Sorel et Filip Ĉop, respectivement juriste et gagnant du concours « Photomode 2024 », organisé par Ubisoft.
Les studios d’Ubisoft à Montréal accueillent pour la première fois ce mercredi les lauréates du concours « Photomode 2024 » : une vingtaine de photographies sélectionnées par un jury parmi des centaines de soumissions. En effet, pour une seconde fois, le géant de l’industrie du jeu vidéo a invité sa communauté à lui envoyer des clichés, pris au sein même de ses jeux via leur mode photo intégré, afin qu’il puisse exposer les meilleures publiquement. Un moyen de faire rayonner les joueurs et leur fibre créative, selon Justin Levy, l’instigateur du concours. Le Lien MULTIMÉDIA a discuté avec lui de l’historique de cette initiative.
Après plusieurs éditions annuelles réunissant plus de 70 studios indépendants dans différentes régions du Québec, la Caravane entrepreneuriale en région revient avec une nouvelle formule, comprenant deux circuits distincts sur la commercialisation pour les studios intermédiaires et avancés.
Avant que les compositeurs des jeux d’Ubisoft Montréal ne remportent des prix BAFTA ou Grammy pour leur travail, le superviseur musical du studio, Simon Landry, s’est assuré de bien les intégrer à l’équipe de développement afin d’encourager au mieux leur fibre créative. Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec ce pilier de l’entreprise montréalaise sur son métier et sur la place importante qu’il occupe dans la réalisation de bandes sonores pour des projets tels qu’« Assassin’s Creed » et « Far Cry ».
Le superviseur musical d’Ubisoft Montréal, Simon Landry, est heureux que la National Academy of Recording Arts and Sciences (NARAS) des États-Unis reconnaisse désormais le travail des compositeurs de musique de jeux vidéo avec ses prix Grammy. La 66e cérémonie annuelle de remise de ces récompenses – qui s’est déroulée début février – a en effet été la seconde édition à inclure un prix pour la « Meilleure bande sonore pour jeux vidéo et autres médias interactifs ». Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec Simon Landry sur l’historique de cette reconnaissance majeure, lui qui a collaboré avec la toute première récipiendaire d’un Grammy dans cette catégorie, la compositrice Stephanie Economou.
Le studio triple A Ubisoft Montréal a annoncé à la mi-mars qu’il allait soutenir financièrement trois studios de développement de jeux vidéo indépendants, par le biais de son fonds d’investissement RADAR. Les montréalais Astrolabe Interactive et Lucid Dreams Studio, ainsi que le québécois Studio Imugi, se sont vus remettre des enveloppes pouvant monter jusqu’à 500 000 $ pour soutenir leurs projets, intitulés respectivement « Aloft », « Biomorph » et « Revolution ». Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec le directeur responsable de RADAR, Olivier Delisle, sur le fonctionnement de ce fonds et sur son intérêt pour un acteur d’envergure comme Ubisoft.
La cofondatrice du programme Gameable de Technovation Montréal, Mariya Zinchenko, travaille chaque fin de semaine avec ses collègues mentors pour introduire une vingtaine de jeunes filles au métier de développeur de jeu vidéo. Après six mois d’ateliers hebdomadaires, les participantes présenteront publiquement leurs prototypes fonctionnels à l’École des arts numériques, de l’animation et du design de l’Université du Québec à Chicoutimi (NAD-UQAC). Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec Mariya Zinchenko pour en savoir davantage sur son parcours et sur les raisons derrière son initiative.
Pour son premier rendez-vous printanier de l’industrie, Allia a choisi de se pencher sur la place des femmes dans l’industrie du jeu vidéo. L’alliance a rassemblé Catherine Lemyre, vice-présidente Talents chez Ubisoft - qui accueillait d’ailleurs l’événement dans ses locaux du Mile-End –, Stéphanie Jecrois, cofondatrice et directrice exécutive de Technovation Montréal et Béatrice Desjardins-Gagnon, conseillère en Diversité, Équité et Inclusion (DEI) à la Guilde du jeu vidéo du Québec, dans une discussion animée par Chan Tep, conseillère, planification stratégique et opérationnelle au secteur Diversité et Inclusion à Radio-Canada.
Au cours des dernières années, la pandémie aidant, le nombre de studios indépendants québécois a explosé. En fait, explique Jean Jacques Hermans, directeur général de la Guilde du jeu vidéo du Québec, on a vu une première génération de studios de jeux vidéo en 2008-2010, suivi d’une deuxième vague en 2014-2016 alors que l’on comptait déjà une cinquantaine de studios indépendants. C’est d’ailleurs en 2016 qu’est créée la Guilde des développeurs indépendants et, lors de la fusion avec Alliance numérique, la Guilde telle qu’on la connaît aujourd’hui.
![[MIGS] Il faut mieux repérer les talents capables d’occuper les postes de seniors, affirment les studios et les établissements](local/cache-gd2/8e/469fd99c131d99b505eb602e01822b.jpg?1706498973)
À l’heure où les postes de supervision sont de plus en plus difficiles à combler, il devient indispensable de réfléchir aux solutions afin de former les prochains seniors de l’industrie du jeu vidéo au Québec. Dans un panel s’intéressant précisément à cette question, la directrice générale de SYNTHÈSE – Pôle Image Québec Brigitte Monneau a tenté d’établir un portrait de la situation en compagnie de Christopher Chancey, président et directeur général de Manavoid Entertainment et Christina Tzournavelis, conseillère en développement des talents chez Ubisoft Montréal, en plus de trouver des pistes de solutions aux côtés de Christian Beauchesne, directeur général par intérim de l’École NAD-UQAC et de Simon Delamarre, directeur de la formation continue au Collège de Bois-de-Boulogne, le tout dans le cadre de l’événement MIGS.