
Le PCCQ, un important outil pour développer les futurs publics, estime Ségolène Roederer 
Lorsqu’elle parle du travail du Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ), la directrice générale de Québec Cinéma ne tarit pas d’éloges. Ségolène Roederer estime qu’il s’agit d’une opération absolument fondamentale face aux enjeux du cinéma québécois. Si on veut un public pour le cinéma d’ici, il faut commencer à cultiver le public tôt. C’était d’ailleurs un des enjeux abordés par le Groupe de travail sur les enjeux du cinéma, en 2013. Et pour le faire tôt, il faut commencer à l’école.
29 janvier 2020, 07h09