Avec « Okurimono », Laurence Lévesque se penche sur le deuil sur fond de bombe atomique
Après trois courts métrages (« Drap contour », 2018, « Port d’attache », 2019 et « Perséides », 2023) réalisés alors qu’elle étudiait en cinéma à l’UQAM, Laurence Lévesque signe, avec « Okurimono », son premier long métrage documentaire. En parallèle, elle a travaillé comme scripte sur des plateaux de tournage. L’idée d’« Okurimono » lui est venue par un processus assez naturel, confie-t-elle à Qui fait Quoi. Elle a suivi sa belle-mère, Noriko Oi, une Canadienne d’origine japonaise vivant à Montréal depuis plus de 20 ans, qui devait retourner à Nagasaki pour vider la maison familiale.
17 janvier 2025, 02h00