Picbois Productions annonce la nomination de la productrice Marie-Pierre Corriveau comme nouvelle actionnaire de Picbois Productions, aux côtés de la productrice et fondatrice Karine Dubois. Elles agiront désormais à titre de co-présidentes de l’entreprise.
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Si Télé-Québec a accepté de diffuser sur son site Web une troisième saison de « Décoloniser l’histoire », c’est bien parce que les thèmes abordés par cette série conçue par Picbois Productions sont importants. En fait, lorsque l’équipe prépare une saison, elle amasse déjà des sujets pour la (…)
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Après l’annonce de nouveaux changements dans les Prix Gémeaux, certains producteurs se sont élevés contre ceux-ci et contre l’événement de façon plus générale. Karine Dubois, productrice chez Picbois Productions, a tenu à donner un autre son de cloche. Avec sa permission, nous reproduisons (…)
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Il existe la « technique Picbois », admet Marie-Pierre Corriveau, une stratégie qui vise à partir à la recherche du financement maximum afin de concrétiser les projets documentaires de la boîte Picbois Productions, fondée par Karine Dubois en 2010. Cette rareté à ne pas se limiter à une (…)
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Tout au long de son parcours de réalisatrice, Sabrina Hammoum s’est intéressée à l’être humain. Elle a suivi de jeunes garçons qui sont restés accrochés à l’école grâce au football dans « L’envol des aigles ». Dans « Koriass, revenir de loin », elle s’est penchée sur la dépression et la (…)
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Les enjeux d’inclusion et de diversité deviennent de plus en plus incontournables dans l’industrie audiovisuelle. Si des pas importants ont été franchis, notamment avec la mise en place de programmes spécifiques au Fonds des médias du Canada (FMC) et ailleurs, il reste beaucoup à faire. (…)
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Qui fait Quoi vient de publier l’édition de février 2023 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement revue, modernisée et améliorée. Disponible en ligne en format numérique PDF (83 pages), cette 425e édition de la revue Qui fait Quoi propose entre autres un reportage sur les 41es (…)
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Picbois Productions annonce la nomination de la productrice Marie-Pierre Corriveau comme nouvelle actionnaire de Picbois Productions, aux côtés de la productrice et fondatrice Karine Dubois. Elles agiront désormais à titre de co-présidentes de l’entreprise.
Si Télé-Québec a accepté de diffuser sur son site Web une troisième saison de « Décoloniser l’histoire », c’est bien parce que les thèmes abordés par cette série conçue par Picbois Productions sont importants. En fait, lorsque l’équipe prépare une saison, elle amasse déjà des sujets pour la saison suivante, confie Karine Dubois en entrevue. Les sujets foisonnent, pour le meilleur ou pour le pire, note la productrice.
Après l’annonce de nouveaux changements dans les Prix Gémeaux, certains producteurs se sont élevés contre ceux-ci et contre l’événement de façon plus générale. Karine Dubois, productrice chez Picbois Productions, a tenu à donner un autre son de cloche. Avec sa permission, nous reproduisons ci-dessous son message.
Il existe la « technique Picbois », admet Marie-Pierre Corriveau, une stratégie qui vise à partir à la recherche du financement maximum afin de concrétiser les projets documentaires de la boîte Picbois Productions, fondée par Karine Dubois en 2010. Cette rareté à ne pas se limiter à une structure financière de base en documentaire exige davantage d’efforts, mais est particulièrement fructueuse au bout du compte. Surtout qu’à l’heure actuelle, la tendance est davantage aux documentaires unitaires.
Tout au long de son parcours de réalisatrice, Sabrina Hammoum s’est intéressée à l’être humain. Elle a suivi de jeunes garçons qui sont restés accrochés à l’école grâce au football dans « L’envol des aigles ». Dans « Koriass, revenir de loin », elle s’est penchée sur la dépression et la création. Elle a en outre suivi des jeunes en difficulté avec « Une place pour eux ». Son plus récent projet, « Elles », l’a amenée autour du monde à la rencontre de collectifs de femmes qui changent le monde par le sport, les arts et le militantisme.
Les enjeux d’inclusion et de diversité deviennent de plus en plus incontournables dans l’industrie audiovisuelle. Si des pas importants ont été franchis, notamment avec la mise en place de programmes spécifiques au Fonds des médias du Canada (FMC) et ailleurs, il reste beaucoup à faire. Pour creuser le sujet plus à fond, le FMC a organisé une table ronde fort intéressante rassemblant Jean-François O’Bomsawin, directeur du marketing et de la communication au Bureau de l’écran autochtone, Karine Dubois, productrice et fondatrice de Picbois Productions, Eric Idriss-Kanago, producteur et fondateur de la société de production Yzanakio, et Mara Gourd-Mercado, directrice générale de l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision, section Québec, autour de Gaëlle Essoo, rédactrice en chef de Futur et Médias et Diego Briceño, chef principal contenu et diversité au FMC.
Qui fait Quoi vient de publier l’édition de février 2023 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement revue, modernisée et améliorée. Disponible en ligne en format numérique PDF (83 pages), cette 425e édition de la revue Qui fait Quoi propose entre autres un reportage sur les 41es Rendez-vous Québec Cinéma, une grande entrevue avec Sylvie Quenneville qui souhaite fédérer l’industrie et le public autour de Québec Cinéma, des textes d’entrevue avec le président sortant de l’ONF Claude Joli-Coeur qui prend (presque) une retraite bien méritée après environ quatre décennies dans l’industrie, Sophie Prégent qui dresse le bilan de ses dix ans à la tête de l’UDA, un texte d’opinion de la présidente du FMC Valerie Creighton au sujet du contenu canadien, une entrevue avec Nancy Florence Savard au sujet de « Katak, le brave béluga »... Ce numéro intègre comme toujours l’indispensable Guide mensuel de la production et plusieurs autres textes et reportages.
Avec « Essentiels », le réalisateur Ky Vy Le Duc touche pour la première fois au long métrage documentaire. Cet habitué de Picbois Productions avait déjà oeuvré sur la série Web « Décoloniser l’histoire » et sur le lexique de « Briser le code ». Dans « Essentiels », une idée de la militante Sonia Djelidi, cette dernière et la journaliste Sarah Champagne racontent la réalité de demandeurs d’asile et de travailleurs temporaires qui occupent des emplois précaires à travers les histoires de Carole, de Rodrigo, de Patricia et d’Edyn, quatre de ces travailleurs. Le réalisateur avoue à Qui fait Quoi qu’il s’agissait, d’entrée de jeu, d’un sujet complexe.
Le 8 décembre dernier, une vingtaine de jeunes cinéastes et producteurs d’origine africaine et créole ont participé à une journée de formation visant à faciliter leur intégration dans le milieu de l’audiovisuel québécois. Quatre productrices chevronnées les ont familiarisés avec les étapes d’approche à une maison de production.
À l’issue de ses élections, l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision - section Québec annonce les deux élu.e.s qui se joindront à son conseil d’administration ainsi que les personnes nouvellement nommées. Deux postes étaient à combler par élection, un en télévision, comblé par Karine Dubois, fondatrice et présidente de Picbois Productions et un en cinéma, maintenant comblé par Antonello Cozzolino, producteur chez Attraction.
Est-ce que la télévision peut être un moteur de changement ? Comment utiliser ce médium afin de normaliser certaines de ces transformations sociales ? En 2022, il est possible d’observer une augmentation de la représentation liée à des enjeux dénonçant des expériences d’oppression, qu’il s’agisse de racisme, d’homophobie ou de sexisme. Mais quel travail reste-t-il à faire ? En compagnie de Joelle Rouleau, professeure à l’Université de Montréal, Amélie Dionne-Martel, productrice à Pixcom, Sonia Bonspille Boileau, scénariste et réalisatrice de la série « Pour toi Flora », Judith Brès, scénariste de la série documentaire « Afro Canada » et Karine Dubois, productrice chez Picbois Productions, ont témoigné de leur expérience avec des contenus ayant contribué à ce changement au Salon des membres des prix Gémeaux.
Le réalisateur Francis Papillon prend la relève de Ky Vy Le Duc pour la deuxième saison de « Décoloniser l’histoire », une série de courtes vidéos documentaires qui mettent en lumière des pans méconnus de l’histoire canadienne, avec beaucoup de bonheur car, affirme-t-il, Picbois Productions monte des documentaires importants, des projets qui donnent la parole à des gens qui doivent parler et qu’on doit écouter. Qui fait Quoi l’a rencontré sur le plateau de tournage alors que l’équipe entamait le deuxième bloc de filmage.
La première saison de « Décoloniser l’histoire » a été très bien accueillie par la vaste majorité des médias, sauf par quelques chroniqueurs, dont Mathieu Bock-Côté, qui en a fait trois chroniques sur la base de la bande-annonce, alors que la série n’était pas encore sur la plateforme de Télé-Québec. Mais ce n’est pas pour déplaire à Karine Dubois, productrice et fondatrice de la boîte de production. « Quand tu fais ce genre de séries et que des gens comme lui chroniquent dessus, c’est la preuve que tu fais ton travail », lance-t-elle dans un grand éclat de rire.
Picbois Productions et Radio-Canada OHdio présentent le balado documentaire « Chacun sa classe », réalisé par Christine Chevarie, d’après une idée originale de la fondatrice de Picbois, Karine Dubois, qui assure la narration ainsi que la production avec Marie-Pierre Corriveau.