Le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) accueille très favorablement le budget du Québec 2025-2026 qui renferme pour ses membres une bonne nouvelle immédiatement et une excellente nouvelle pour l’an prochain et les suivantes.
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La décision du Groupe Juste pour rire de se placer à l’abri de ses créanciers et de mettre en pause son festival phare expose au grand jour la difficile réalité des entreprises qui œuvrent dans le divertissement et l’évènementiel. Des dirigeants d’événements s’inquiètent dans une lettre (…)
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À quelques semaines des premiers rendez-vous de la saison estivale 2023 et alors que s’amorce la Semaine canadienne du tourisme, les dirigeants de grands festivals et événements québécois se sont montrés très préoccupés, mais mobilisés et solidaires, devant l’ampleur des défis auxquels ils (…)
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Lorsque Jacques Parizeau a demandé à Louise Beaudoin de prendre le portefeuille de la culture, juste avant le référendum de 1995, le ministère venait de vivre des années un peu creuses. Marie Malavoy avait brièvement occupé le poste avant de devoir démissionner pour avoir voté sans détenir (…)
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Le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) se réjouit d’avoir été entendu par le gouvernement du Québec et tient à saluer le travail de la ministre du Tourisme Caroline Proulx. Le budget 2023-2024 renferme en effet 25 millions $ supplémentaires sur trois ans pour appuyer (…)
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À la suite de la formation du conseil des ministres à Québec, le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) est heureux de conserver « sa » ministre au Tourisme, Caroline Proulx, et - comme le voulait le slogan de la CAQ - de « continuer » avec elle le développement de (…)
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Encore une fois cette année, la programmation de Présence autochtone se veut touffue. Lors de cette 32e édition, qui se tiendra du 9 au 18 août, les festivaliers auront droit à des concerts et à du théâtre, à du cinéma, évidemment, mais aussi à une foule d’autres activités, certaines (…)
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Le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) accueille très favorablement le budget du Québec 2025-2026 qui renferme pour ses membres une bonne nouvelle immédiatement et une excellente nouvelle pour l’an prochain et les suivantes.
La décision du Groupe Juste pour rire de se placer à l’abri de ses créanciers et de mettre en pause son festival phare expose au grand jour la difficile réalité des entreprises qui œuvrent dans le divertissement et l’évènementiel. Des dirigeants d’événements s’inquiètent dans une lettre ouverte.
À quelques semaines des premiers rendez-vous de la saison estivale 2023 et alors que s’amorce la Semaine canadienne du tourisme, les dirigeants de grands festivals et événements québécois se sont montrés très préoccupés, mais mobilisés et solidaires, devant l’ampleur des défis auxquels ils sont confrontés.
Lorsque Jacques Parizeau a demandé à Louise Beaudoin de prendre le portefeuille de la culture, juste avant le référendum de 1995, le ministère venait de vivre des années un peu creuses. Marie Malavoy avait brièvement occupé le poste avant de devoir démissionner pour avoir voté sans détenir la nationalité québécoise, puis ce fut le tour de Rita Dionne-Marsolais, qui avait choisi un donateur du Parti québécois à la tête de ce qui était alors Radio-Québec. Jacques Parizeau, à qui la culture tenait beaucoup à coeur, a ensuite décidé de prendre sous sa charge la culture, mais avec l’organisation du référendum, cela faisait beaucoup pour un seul homme.
Le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) se réjouit d’avoir été entendu par le gouvernement du Québec et tient à saluer le travail de la ministre du Tourisme Caroline Proulx. Le budget 2023-2024 renferme en effet 25 millions $ supplémentaires sur trois ans pour appuyer les festivals et événements touristiques « qui contribuent au rayonnement et à l’attractivité du Québec comme destination touristique de calibre mondial ».
À la suite de la formation du conseil des ministres à Québec, le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) est heureux de conserver « sa » ministre au Tourisme, Caroline Proulx, et - comme le voulait le slogan de la CAQ - de « continuer » avec elle le développement de l’industrie festivalière et événementielle.
Encore une fois cette année, la programmation de Présence autochtone se veut touffue. Lors de cette 32e édition, qui se tiendra du 9 au 18 août, les festivaliers auront droit à des concerts et à du théâtre, à du cinéma, évidemment, mais aussi à une foule d’autres activités, certaines récurrentes, certaines en première. « Des gens sont ici pour tourner la page à un chapitre antérieur, nous sommes là pour l’avenir, a lancé André Dudemaine, directeur du festival, en faisant référence à la visite papale qui se tient actuellement au Canada. Nous avons préparé une programmation très riche et très éclectique. »
La ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent, Caroline Proulx, est heureuse d’annoncer un soutien total de 85,2 millions $ aux festivals et aux événements touristiques pour la période 2022 à 2025. Celui-ci comprend une somme supplémentaire de 35 millions $ sur trois ans, prévue dans le budget 2022-2023, pour soutenir davantage l’industrie événementielle au Québec.
![[Budget fédéral 2022-2023] Le RÉMI et FAME se disent perplexes](local/cache-gd2/59/4652b37d52b6e8ada43ba9e55de7a8.jpg?1726261354)
La présentation du budget fédéral 2022-2023 laisse le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) et Festivals et événements majeurs Canada (FAME) perplexes.
Le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) accueille avec soulagement et enthousiasme les mesures contenues dans le budget 2022-2023 qui permettront dès cette année au secteur d’avoir un financement comparable à 2021-2022, soit environ 35 M$, via le Programme d’aide financière aux festivals et événements touristiques du ministère du Tourisme.
L’annonce du dépôt du projet de loi C-10 sur la transformation de la loi sur la radiodiffusion a soulevé de nombreuses questions dans le milieu culturel. Pourquoi la loi ne touche-t-elle pas les géants médiatiques qui relaient les informations des médias traditionnels sans contrepartie ? Pourquoi ne parle-t-on pas de quotas francophones dans ce projet de loi ? Quel échéancier Patrimoine canadien espère-t-il avant que ne soit appliquée une nouvelle loi ? Quel sera le rôle du CRTC ? Pour répondre à ces questions et à d’autres, le Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM) a invité Steven Guilbeault à répondre aux questions de Monique Simard, présidente du CA du Partenariat du Quartier des spectacles.
Comme de nombreux événements estivaux, le Festival international de films Fantasia a dû repenser complètement la façon de présenter sa programmation. L’édition 2020 aura donc lieu en ligne, du 20 août au 2 septembre. Une 24e édition sous une forme virtuelle d’avant-garde, promettent les organisateurs. Par contre, le volet professionnel Frontières garde ses dates du 23 au 26 juillet, explique Pierre Corbeil, président-directeur général de Fantasia à Qui fait Quoi / Le Lien MULTIMÉDIA.
![[PODCAST] COVID-19 : Quels festivals et événements vont écoper ?](local/cache-gd2/cc/89082587d9c668b8d595e154f44abb.jpg?1726259816)
Le jour même où la mairesse de Montréal, Valérie Plante, annonçait l’annulation des festivals, événements sportifs et rassemblements publics jusqu’au 2 juillet 2020 sur son territoire, Qui fait Quoi a parlé avec Mohamed Reda Khomsi, professeur à l’École des sciences de la gestion à l’Université du Québec à Montréal. Nous avons discuté avec ce spécialiste des dynamiques événementielles et de la gestion des destinations touristiques, des impacts de la pandémie sur les festivals et événements.
Le Regroupement des événements majeurs internationaux (RÉMI) estime que, dans les circonstances exceptionnelles qui prévalent actuellement au Québec et dans le monde, les organisateurs d’événements majeurs internationaux qui devaient se tenir en mai et juin ont pris des décisions difficiles et courageuses.