Daniel Courville invente ses propres plugiciels pour gérer des sons ambiophoniques
L’ambiophonie est déjà âgée de quelques décennies puisque les premières expériences ont eu lieu en Angleterre vers 1968. En combinant quatre canaux de son, provenant d’un micro omnidirectionnel et de trois micros directionnels, on peut générer des micros virtuels que l’on peut placer n’importe où dans l’espace. On appelle ce type d’enregistrement le « format B ». Il est donc possible d’alimenter autant de haut-parleurs que l’on veut avec des sons spatialisés. C’est la souplesse de cette technologie qui a séduit Daniel Courville, chargé de cours à l’UQÀM. Il invente désormais ses propres plugiciels pour gérer ce format audio. Daniel Courville était un invité d’Interface[s]
9 avril 2009, 00h10