Le jeudi 18 juin à 22 h, Canal D présente le nouveau film de Guillaume Sylvestre, « Dernier tour de piste ». À l’été 2019, l’autodrome St-Eustache a fermé sa piste légendaire. Le cinéaste propose le portrait d’un lieu mythique fréquenté par des passionnés pour qui la course motorisée est un (…)
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Depuis plusieurs décennies, le camp Papillon offre aux jeunes en situation de handicap l’occasion de vivre une expérience de camp de vacances adapté. Bien implanté à Saint-Alphonse-Rodriguez, dans Lanaudière, le camp Papillon accueille chaque été plus de 300 jeunes. Et près d’une centaine (…)
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Avocate de formation, Renée-Claude Riendeau s’investit dans la production documentaire depuis plusieurs années déjà. Comme bien d’autres de ses collègues, elle évolue dans un secteur précaire, où le financement des projets documentaires est tout sauf facile à obtenir. Malgré tout, la (…)
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Réalisateur à la démarche immersive, Guillaume Sylvestre ne chôme pas. En plus des projets qu’il développe avec diverses boîtes de production, il collabore depuis quelques années avec Productions Lustitia, une entreprise qui se spécialise dans le documentaire. Donnant suite à « DPJ », son (…)
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Les Productions Lustitia présenteront « DPJ », long métrage documentaire de Guillaume Sylvestre, en première mondiale, en version intégrale, à la 20e édition des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM). La grande première de « DPJ » se tiendra le jeudi 16 novembre à 20 (…)
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Comme bon nombre de Québécois, le cinéaste Guillaume Sylvestre (« Durs à cuire », « Secondaire V », « 1er amour ») a de la parenté propriétaire d’un condo en Floride, l’échappatoire hivernale préférée des Canadiens français. Le camping de luxe Aztec de Fort Lauderdale, dont les (…)
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À l’automne 2016, Francis Bouillon, ex-défenseur des Canadiens de Montréal, fera vivre en tant que chef d’expédition des expériences de survie à huit personnalités dans la nouvelle série documentaire « Expédition extrême ». Pendant 48 heures, les invités seront placés dans une situation (…)
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Le jeudi 18 juin à 22 h, Canal D présente le nouveau film de Guillaume Sylvestre, « Dernier tour de piste ». À l’été 2019, l’autodrome St-Eustache a fermé sa piste légendaire. Le cinéaste propose le portrait d’un lieu mythique fréquenté par des passionnés pour qui la course motorisée est un véritable mode de vie.
Depuis plusieurs décennies, le camp Papillon offre aux jeunes en situation de handicap l’occasion de vivre une expérience de camp de vacances adapté. Bien implanté à Saint-Alphonse-Rodriguez, dans Lanaudière, le camp Papillon accueille chaque été plus de 300 jeunes. Et près d’une centaine de moniteurs et de monitrices.
Avocate de formation, Renée-Claude Riendeau s’investit dans la production documentaire depuis plusieurs années déjà. Comme bien d’autres de ses collègues, elle évolue dans un secteur précaire, où le financement des projets documentaires est tout sauf facile à obtenir. Malgré tout, la fondatrice des Productions Lustitia continue de développer des projets, que ce soient des séries documentaires ou encore des unitaires. C’est avec le réalisateur Guillaume Sylvestre qu’elle collabore le plus souvent, un choix évident pour la productrice. « Ça fait 20 ans que je fais de la télévision et il fait partie de ce que nous appelons un réalisateur en documentaire : il est capable de s’adapter », assure-t-elle en entrevue.
Réalisateur à la démarche immersive, Guillaume Sylvestre ne chôme pas. En plus des projets qu’il développe avec diverses boîtes de production, il collabore depuis quelques années avec Productions Lustitia, une entreprise qui se spécialise dans le documentaire. Donnant suite à « DPJ », son plus récent long métrage, le cinéaste veille actuellement à plusieurs projets simultanément aux côtés de l’entreprise. Si certains sont prêts à être accueillis par le public, d’autres sont actuellement en production ou encore en préproduction. Il en a discuté avec Qui fait Quoi.
Les Productions Lustitia présenteront « DPJ », long métrage documentaire de Guillaume Sylvestre, en première mondiale, en version intégrale, à la 20e édition des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM). La grande première de « DPJ » se tiendra le jeudi 16 novembre à 20 h à la Cinémathèque québécoise, en présence du réalisateur et de l’équipe du film.
Comme bon nombre de Québécois, le cinéaste Guillaume Sylvestre (« Durs à cuire », « Secondaire V », « 1er amour ») a de la parenté propriétaire d’un condo en Floride, l’échappatoire hivernale préférée des Canadiens français. Le camping de luxe Aztec de Fort Lauderdale, dont les propriétaires sont presque tous des Québécois, est un amalgame de véhicules motorisés et de voitures de luxe regroupant une imposante concentration d’hommes d’affaires de la province qui y résident près de six mois par année. « L’endroit est presque surréaliste », décrit Guillaume Sylvestre en entrevue. Son film « Le prix du paradis », qui sera aussi diffusé à Canal D, sera présenté en primeur aux Rendez-vous du cinéma québécois le 2 mars prochain avant de prendre l’affiche à la Cinémathèque québécoise.
À l’automne 2016, Francis Bouillon, ex-défenseur des Canadiens de Montréal, fera vivre en tant que chef d’expédition des expériences de survie à huit personnalités dans la nouvelle série documentaire « Expédition extrême ». Pendant 48 heures, les invités seront placés dans une situation périlleuse s’inspirant d’un fait vécu.
Ces jours-ci, quand il s’agit de Guillaume Sylvestre, le mot « premier » s’écrit au masculin et au féminin, mais aussi au pluriel. Jugez plutôt : suite à la première de sa première fiction, « 1er amour », le réalisateur s’est dit heureux des premières réactions du grand public.
Le réalisateur Guillaume Sylvestre présentait son second documentaire au Festival du nouveau cinéma à l’automne 2010. Sauvage, produit par Sylvie Krasker chez Baie de l’écho en collaboration avec Canal D, propose un nouveau regard sur les problématiques autochtones du Québec contemporain.
Guillaume Sylvestre a réalisé Sauvage, un documentaire percutant qui s’attarde à la fois sur la quête identitaire et la volonté de trois générations d’autochtones du Québec de se forger une place dans le monde d’aujourd’hui. Les personnages du film sont résilients et refusent le misérabilisme ; ils sont issus de la communauté huronne de Wendake de la communauté crie d’Oujé-Bougoumou, en passant par celle des Malécites du Bas-Saint-Laurent et celle des Attikamek de Wemontaci.