Le film « Eddington » d’Ari Aster ouvrira les festivités de la 29e édition du Festival international de films Fantasia le 16 juillet prochain tandis que « La mort n’existe pas » du québécois Félix Dufour-Laperrière sera présenté en ouverture des Fantastiques weekends du cinéma québécois, (…)
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Filmoption international, Les films du Paria en association avec Max Films se réjouissent du vent du succès n’a pas laissée le film « Ababouiné ». En effet en date du 25 septembre, il a passé le cap du demi-million au box-office québécois, avec un total de 502,599$ accumulés.
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Filmoption international, Les films du Paria en association avec MAX Films annoncent que devant l’engouement extraordinaire du public lors de la sortie du film la semaine passée, 13 salles se sont ajoutées pour sa distribution soit Cinéma Cineplex Victoriaville, Cinéma Cineplex St-Jean, (…)
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Avec plus de 30 ans de collaboration avec André Forcier, Linda Pinet est une figure incontournable dans le monde du cinéma québécois. En entrevue avec Qui fait Quoi, elle revient sur les motivations qui l’ont poussée à s’engager pour le film « Ababouiné », les obstacles logistiques qu’elle (…)
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Le 16e Festival international de cinéma et d’art Les Percéides annonce que le réalisateur André Forcier et l’acteur Rémy Girard ont reçu le Prix d’honneur Les Percéides lors de la soirée d’ouverture du 19 août au cours de laquelle « Ababouiné » était projeté. Ce prix leur est décerné pour (…)
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Le nouveau film d’André Forcier, « Ababouiné », marque le retour de deux figures emblématiques du cinéma québécois, Rémy Girard et Gaston Lepage, dans des rôles qui promettent de laisser une empreinte durable dans l’imaginaire collectif. Les deux acteurs se sont confiés à Qui fait Quoi sur (…)
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Dans le nouveau film d’André Forcier, « Ababouiné », Éric Bruneau incarne le vicaire Cotnoir, un personnage complexe qui navigue entre ambition et hypocrisie. Lors d’une entrevue avec Qui fait Quoi, l’acteur a partagé sa vision du rôle et les défis qu’il a rencontrés en incarnant ce personnage.
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Le film « Eddington » d’Ari Aster ouvrira les festivités de la 29e édition du Festival international de films Fantasia le 16 juillet prochain tandis que « La mort n’existe pas » du québécois Félix Dufour-Laperrière sera présenté en ouverture des Fantastiques weekends du cinéma québécois, section dédiée au cinéma québécois du Festival.
Filmoption international, Les films du Paria en association avec Max Films se réjouissent du vent du succès n’a pas laissée le film « Ababouiné ». En effet en date du 25 septembre, il a passé le cap du demi-million au box-office québécois, avec un total de 502,599$ accumulés.
Filmoption international, Les films du Paria en association avec MAX Films annoncent que devant l’engouement extraordinaire du public lors de la sortie du film la semaine passée, 13 salles se sont ajoutées pour sa distribution soit Cinéma Cineplex Victoriaville, Cinéma Cineplex St-Jean, Cinéma Coaticook, Cinéma Princess, Cowansville, Cinéma Le Scénario, La Pocatière, Cinéma Magog, Cinéma Laurier, Mont-Laurier, Cinéma Paramount, Rouyn, Cinéma St-Hyacinthe, Cinéma Alouette, St-Raymond, Cinéma Lumière, Ste-Marie, Cinéma 7, Valleyfield, Cinéma RGFM Joliette.
Avec plus de 30 ans de collaboration avec André Forcier, Linda Pinet est une figure incontournable dans le monde du cinéma québécois. En entrevue avec Qui fait Quoi, elle revient sur les motivations qui l’ont poussée à s’engager pour le film « Ababouiné », les obstacles logistiques qu’elle a dû surmonter ainsi que l’importance de la collaboration avec des partenaires de longue date.
Le 16e Festival international de cinéma et d’art Les Percéides annonce que le réalisateur André Forcier et l’acteur Rémy Girard ont reçu le Prix d’honneur Les Percéides lors de la soirée d’ouverture du 19 août au cours de laquelle « Ababouiné » était projeté. Ce prix leur est décerné pour couronner l’ensemble de leur carrière.
Le nouveau film d’André Forcier, « Ababouiné », marque le retour de deux figures emblématiques du cinéma québécois, Rémy Girard et Gaston Lepage, dans des rôles qui promettent de laisser une empreinte durable dans l’imaginaire collectif. Les deux acteurs se sont confiés à Qui fait Quoi sur leur approche des personnages et les défis qu’ils ont rencontrés lors du tournage.
Dans le nouveau film d’André Forcier, « Ababouiné », Éric Bruneau incarne le vicaire Cotnoir, un personnage complexe qui navigue entre ambition et hypocrisie. Lors d’une entrevue avec Qui fait Quoi, l’acteur a partagé sa vision du rôle et les défis qu’il a rencontrés en incarnant ce personnage.
André Forcier, figure emblématique du cinéma québécois, est en pleine tournée promotionnelle pour son plus récent film, « Ababouiné ». Le long métrage a suscité de vives réactions lors de sa première, présentée dans le cadre du festival Fantasia. Qui fait Quoi a discuté avec le réalisateur de sa capacité à nous transporter dans son univers unique.
À compter du 29 octobre, et ce, pendant trente jours, quelques photos prises pendant le tournage de « Les fleurs oubliées », le plus récent long métrage d’André Forcier, seront exposées au Café Cherrier sur la rue Saint-Denis à Montréal.
Artiste à la créativité en constante ébullition, André Forcier est toujours le premier à enclencher le processus d’écriture de ses projets. Cela se produit d’ailleurs généralement avant même la sortie du précédent film tourné. « Les fleurs oubliées » ne fait pas exception à cette règle. En effet, la scénarisation a démarré quelque temps avant que le réalisateur québécois n’offre « Embrasse-moi comme tu m’aimes » au public. Dans le cas de ce quinzième long métrage, présenté en première mondiale au Festival du nouveau cinéma, le cinéaste s’est entouré de plusieurs membres de son propre clan pour imaginer la rencontre entre Albert Payette, un apiculteur, et le Frère Marie-Victorin, descendu du ciel.
Présenté en première mondiale au Festival du nouveau cinéma, le plus récent long métrage d’André Forcier, « Les fleurs oubliées », se révèle d’une brûlante actualité. Quand un ex-agronome et apiculteur fait la rencontre du défunt Frère Marie-Victorin, descendu d’un paradis trop ennuyant, les deux redoubleront d’efforts afin de sauver une poignée de travailleurs mexicains d’une multinationale envahissante et polluante. Plus que jamais, le vétéran cinéaste s’affiche ouvertement comme un fier environnementaliste. « Ça fait longtemps que je le suis », précise-t-il toutefois en entrevue avec Qui fait Quoi.
Amorcé le 22 juillet dernier, le tournage de « La beauté du monde », le plus récent film d’André Forcier, se poursuit jusqu’au 2 septembre prochain. Produit par les Films du Paria et Exogène Films, le long métrage raconte l’histoire d’Albert Payette, un apiculteur qui fait la rencontre du frère Marie-Victorin qui a choisi de quitter le ciel parce qu’il s’ennuyait à mourir. C’est justement tout près du parc Marie-Victorin à Longueuil que le réalisateur a échangé avec Qui fait Quoi.
À peine vient-il de célébrer ses 51 ans de carrière avec un prix Iris Hommage qu’André Forcier a déjà amorcé le tournage de son prochain film « La beauté du monde » qui raconte la rencontre entre le Frère Marie-Victorin, fuyant l’ennui du ciel, et Albert Payette, un ex-agronome devenu apiculteur. Depuis le 22 juillet, l’équipe du film sillonne la région de Montréal, plus particulièrement la Rive sud, pour capter les images. Pendant deux semaines, elle élira domicile tout près du parc Marie-Victorin à Longueuil pour y tourner plusieurs scènes. Qui fait Quoi était sur place.
Le réalisateur André Forcier est de retour avec « Embrasse-moi comme tu m’aimes », un récit situé pendant la Deuxième Guerre mondiale où Pierre, 22 ans, doit renoncer à s’enrôler pour s’occuper de sa sœur infirme Berthe qui s’éveille à la sexualité. Choisi pour faire l’ouverture du 40e Festival des films du monde, le long métrage est aussi co-scénarisé par Linda Pinet qui assure également la production aux côtés de Louis Laverdière. Pour l’occasion, Qui fait Quoi a discuté avec le cinéaste.