Le Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ), parrainé par Québec Cinéma, a dévoilé son lauréat 2019. La marraine de l’événement, la cinéaste, scénariste, professeure et comédienne, Micheline Lanctôt, a remis le prix au grand gagnant de cette 8e édition, Alexandre Franchi, réalisateur du (…)
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Maison 4:3, Line & Content et Les Films de la Mancha soulignent que le film « Happy Face – La tyrannie de la beauté », réalisé par Alexandre Franchi (The Wild Hunt), mettant en vedette Debbie Lynch-White et Robin L’Houmeau, fait partie des cinq finalistes de l’édition 2019 du Prix (…)
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C’est avec son enthousiasme habituel que Micheline Lanctôt a pris la parole quelques minutes avant que les membres du comité de sélection annoncent les cinq films en lice pour le 8e Prix collégial du cinéma québécois. Celle qui est marraine de cet événement depuis les tout débuts a souligné (…)
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Les plus récents films de Jennifer Alleyn et d’Alexandre Franchi figurent dans la programmation révélée il y a quelques jours par le festival de cinéma indépendant Slamdance en vue de son édition 2019, qui se déroulera à Park City (UT) du 25 au 31 janvier.
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Deuxième long métrage d’Alexandre Franchi, « Happy Face – la tyrannie de la beauté » raconte l’histoire de Stanislas, un jeune homme de 19 ans, qui intègre un groupe de thérapie réunissant des personnes défigurées en réaction à la maladie de sa mère hospitalisée. Oeuvre inspirée de (…)
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Maison 4:3, Line & Content et Les Films de la Mancha présentent « Happy Face – La tyrannie de la beauté », deuxième long métrage réalisé par Alexandre Franchi (« The Wild Hunt »), mettant en vedette Debbie Lynch-White dans un premier rôle pour une production anglophone.
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Alors qu’il planche actuellement sur le long métrage « Happy Face », Alexandre Franchi développe déjà son prochain projet « Darius le Grand », un thriller psychologique aux côtés de Menaïc Raoul (Voyelle Films). S’inspirant de sa propre expérience pour imaginer le récit, le réalisateur (…)
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Le Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ), parrainé par Québec Cinéma, a dévoilé son lauréat 2019. La marraine de l’événement, la cinéaste, scénariste, professeure et comédienne, Micheline Lanctôt, a remis le prix au grand gagnant de cette 8e édition, Alexandre Franchi, réalisateur du film « Happy Face ».
Maison 4:3, Line & Content et Les Films de la Mancha soulignent que le film « Happy Face – La tyrannie de la beauté », réalisé par Alexandre Franchi (The Wild Hunt), mettant en vedette Debbie Lynch-White et Robin L’Houmeau, fait partie des cinq finalistes de l’édition 2019 du Prix Collégial du cinéma québécois.
C’est avec son enthousiasme habituel que Micheline Lanctôt a pris la parole quelques minutes avant que les membres du comité de sélection annoncent les cinq films en lice pour le 8e Prix collégial du cinéma québécois. Celle qui est marraine de cet événement depuis les tout débuts a souligné le caractère désormais incontournable de ce prix permettant aux étudiants de 52 cégeps situés un peu partout à travers la province de découvrir certaines des oeuvres marquantes de la cinématographie québécoise de la dernière année. Compte-rendu de ce dévoilement où Qui fait Quoi était présent.
Les plus récents films de Jennifer Alleyn et d’Alexandre Franchi figurent dans la programmation révélée il y a quelques jours par le festival de cinéma indépendant Slamdance en vue de son édition 2019, qui se déroulera à Park City (UT) du 25 au 31 janvier.
Deuxième long métrage d’Alexandre Franchi, « Happy Face – la tyrannie de la beauté » raconte l’histoire de Stanislas, un jeune homme de 19 ans, qui intègre un groupe de thérapie réunissant des personnes défigurées en réaction à la maladie de sa mère hospitalisée. Oeuvre inspirée de l’expérience personnelle du réalisateur, ce récit est le premier volet de sa trilogie du cancer. « Je fais souvent des films qui sont autobiographiques et qui partent un peu en vrille parce que je délire aussi », confie le cinéaste en entrevue avec Qui fait Quoi en marge de la première mondiale du film au Festival du nouveau cinéma.
Maison 4:3, Line & Content et Les Films de la Mancha présentent « Happy Face – La tyrannie de la beauté », deuxième long métrage réalisé par Alexandre Franchi (« The Wild Hunt »), mettant en vedette Debbie Lynch-White dans un premier rôle pour une production anglophone.
Alors qu’il planche actuellement sur le long métrage « Happy Face », Alexandre Franchi développe déjà son prochain projet « Darius le Grand », un thriller psychologique aux côtés de Menaïc Raoul (Voyelle Films). S’inspirant de sa propre expérience pour imaginer le récit, le réalisateur souhaite se tourner vers la coproduction pour concrétiser le film. Qui fait Quoi l’a rencontré de même que Gabrielle Tougas-Fréchette, coproductrice chez Voyelle Films, afin d’en préciser les paramètres.
Avec The Wild Hunt, présenté dernièrement au FNC et récipiendaire du meilleur premier film canadien au Festival international de films de Toronto (TIFF), le réalisateur Alexandre Franchi a appris à faire confiance à son instinct. « Quand je suis arrivé au TIFF, j’ai très vite déchanté, explique le réalisateur. On y présentait plus de 280 films et on avait toute la misère du monde à attirer des journalistes dans notre salle de projection. Lorsque j’ai su qu’on avait remporté le prix, ça m’a prouvé que je n’étais pas trop fou dans mes histoires. » Puisqu’il s’agit d’un film tourné en 35 mm avec un budget d’un peu plus de 500 000 $, on peut comprendre pourquoi le réalisateur avait des doutes. Le Lien MULTIMÉDIA l’a rencontré.
Des dizaines de personnes se rassemblent chaque année dans les bois pour échapper quelque temps à la vie moderne en se déguisant en guerriers et en princesses des temps médiévaux. Lorsque Éric voit sa belle Liz partir avec une bande de néobarbares alors que lui reste en ville pour s’occuper de son père, il sait que son couple vacille. Ravalant son dégoût pour ce jeu, il va reconquérir sa belle des bras du chef de la horde qui voit sa jalousie prendre le dessus. Les règles du jeu ne s’appliqueront plus désormais et la fiction rejoindra dangereusement la réalité.
Pour la première montréalaise du film The Wild Hunt, primé comme meilleur premier film canadien au Festival international de films de Toronto, des médiévistes se sont rassemblés dans le parc du Mont-Royal pour recréer la chasse du film. Torches à la main, ils ont déambulé vers le Cinéma du Parc. Inutile de dire que leur entrée dans le cinéma a été remarquée. Le Lien MULTIMÉDIA y était.