Le Festival Stop Motion Montréal a conclu sa 13e édition le dimanche 19 septembre. Les lauréats ont été dévoilés lors d’une cérémonie de remise de prix virtuelle, en direct sur la page Facebook du festival.
Le gouvernement du Québec attribue une aide financière de 31 000 $ au Festival Stop Motion Montréal qui se déroulera dans le respect des consignes sanitaires jusqu’au 19 septembre. Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications, en a fait l’annonce le 10 septembre.
Cette semaine débute la 13e édition du Festival Stop Motion Montréal, premier festival au monde entièrement dédié à l’animation en volume, qui se tiendra en ligne du 10 au 19 septembre via le site du Cinéma Public, et accessible aux quatre coins de la planète.
Premier festival au monde entièrement dédié à l’animation en volume, le Festival Stop Motion Montréal revient pour une 13e édition qui se tiendra en ligne du 10 au 19 septembre. Pendant 10 jours, les cinéphiles d’ici et d’ailleurs pourront découvrir une sélection originale de 93 films en stop motion, déclinés en 12 programmes compétitifs, via le site du Cinéma Public.
Le Festival Stop Motion Montréal, le premier festival au monde dédié à l’animation en volume, sera de retour pour une 13e édition qui aura lieu majoritairement en ligne du 10 au 19 septembre 2021. La programmation 2021 sera accessible aux quatre coins du globe via le site de Cinéma Public, une plateforme de diffusion montréalaise.
Le film « Moi, Barnabé », produit par l’ONF, est un projet personnel pour Jean-François Lévesque. Réalisé grâce aux méthodes du stop motion, le court métrage a été montré au Festival Stop Motion de Montréal. Racontant l’histoire d’un prêtre aux prises avec un poulet, il fait écho aux réflexions du réalisateur sur la religion catholique, ses valeurs et ses pratiques. Entrevue avec Jean-François Lévesque, réalisateur de « Moi, Barnabé », pour qu’il nous révèle les défis du développement, de la production et de la postproduction du projet.
C’est dans le garage de sa maison de Los Angeles que Justin Rasch a mis le pied à l’étrier de l’animation en stop motion. Initialement formé à l’animation en 2D et en 3D, il travaille généralement dans le secteur du jeu vidéo, de la télévision et du cinéma. Sa passion du stop motion l’a aussi conduit à travailler sur « ParaNorman » et « Kubo et l’épée magique » des studios Laika. Fervent amateur des réseaux sociaux, l’animateur encourage les jeunes professionnels du stop motion à diffuser leur travail sur Facebook, TikTok ou YouTube pour débuter leur carrière. Compte-rendu de la conférence de Justin Rasch, animateur en stop motion, pour découvrir les hauts et les bas de ses 20 ans d’expérience dans l’animation 2D, 3D et le stop motion.
Spécialisée dans l’animation en stop motion, Julia Peguet navigue de studio en studio, d’école en école, travaillant sur des projets ici et là, donnant des ateliers ici et là. Installée à Ljubljana, en Slovénie, elle est notamment connue pour sa carrière dans les studios Aardman Animations. Grande pédagogue, elle a récemment écrit un livre rassemblant l’ensemble de ses réflexions sur l’animation en stop motion : « Secrets d’animateur ». Entretien avec Julia Peguet, animatrice de stop motion, pour découvrir ses trucs et astuces de l’animation en stop motion.
Vanessa Loubineau est avocate au barreau de Paris et de Montréal et fondatrice de ARTeM Studio Juridique. Sa mission ? Permettre aux artistes du stop motion de connaître leurs droits, leurs obligations et les actions à mener pour protéger leurs créations. Grâce à sa longue expérience chez CinéGroupe et Spectra Animation, elle connaît en effet tous les tenants et les aboutissants de la défense des droits des auteurs. Plongée avec elle dans les spécificités de la loi canadienne, à mi-chemin entre la loi française et la loi américaine.
Le Festival Stop Motion Montréal a conclu sa 12e édition qui s’est déroulée entièrement en ligne du 14 au 20 septembre dernier. La cérémonie de clôture a eu lieu le dimanche 20 septembre en direct sur Facebook et a permis de rencontrer et de célébrer virtuellement les cinéastes récompensés, dispersés sur plusieurs continents.
Le Festival Stop Motion Montréal annonce que sa 12e édition aura lieu du 14 au 20 septembre 2020. Afin d’encourager la distanciation sociale, tout en poursuivant sa mission de rassembler les amateurs de stop motion avec une programmation entièrement consacrée à cet art, l’événement se tiendra en ligne et sera accessible partout dans le monde. La communauté internationale du stop motion en pleine croissance et le grand public pourront ainsi découvrir ou redécouvrir le tout premier festival d’animation 100% dédié au stop motion.
L’équipe du Lien MULTIMÉDIA vous présente la 155e édition de CONVERGENCE, le magazine de l’entreprise et de la culture numérique. Disponible en version flash à feuilleter en ligne et en PDF, ce magazine de 75 pages est optimisé pour lecture sur une tablette ou un écran d’ordinateur. Ce numéro traite de jeux vidéos avec Guiz de Pessemier et Valérie Roberts, porte-parole du MEGA+MIGS, de cinéma (« Kuessipan », Phil Tippett), de poésie et de jeu avec Natasha Kanapé Fontaine (en couverture), de danse avec Wynn Holmes et Louise Bédard, de l’éthique de l’utilisation des données en santé et de bien d’autres sujets liés à la culture numérique. Bonne lecture.
Radicalement distincte de son dernier projet d’animation, un court métrage de stop motion en volume qui avait pris sept ans à se faire : « The Moon’s Milk », la nouvelle oeuvre de Ri Crawford se présente sous la forme d’un jeu vidéo d’un seul niveau : « The Soul Broker ». Créé en collaboration avec Terran Olson, le projet utilise lui aussi les techniques de l’animation en stop motion, mais cette fois à plat et avec du papier découpé. Il n’a aussi pris que quelques mois à être réalisé. Entretien à trois voix avec Ri Crawford et Terran Olson, respectivement réalisateur et programmateur de « The Soul Broker », pour en savoir plus sur les étapes de création du jeu vidéo.
Réalisé grâce à la technique de l’écran d’épingles, le court métrage « Jim Zipper » d’Alexandre Roy ne passe pas inaperçu. Intrigué par cette méthode d’animation, qui consiste à enfoncer des épingles à différents niveaux pour créer des motifs, le réalisateur collabore avec l’ingénieur Alexandre Noyer pour produire son film. Une prouesse, puisque l’oeuvre a été réalisée en seulement douze jours. Entrevue en tête à tête avec Alexandre Roy, réalisateur de « Jim Zipper », pour découvrir les coulisses de l’animation du film.