L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) vient de dévoiler les finalistes de la 6e édition des Prix RÉALS. Seuls prix au Québec à récompenser des réalisations audacieuses et innovantes contribuant à faire évoluer la profession, les Prix RÉALS sont accordés aux (...)
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L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) accueille avec enthousiasme l’annonce faite en début de semaine par la ministre de la Culture et des Communications, concernant l’instauration d’un comité d’experts en charge d’une réflexion de fonds sur l’avenir de l’audiovisuel (...)
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Les contributions de base des services de diffusion continue en ligne au système de radiodiffusion du Canada représentent l’un des éléments centraux de la Loi sur la diffusion continue en ligne (auparavant projet de loi C-11). Une contribution de 5% des revenus canadiens des plateformes afin de (...)
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L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) vient d’annoncer les résultats de son assemblée générale annuelle qui soulignent un nouveau chapitre dans son engagement envers les créateurs et créatrices québécoises.
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L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) invite dès à présent les professionnels du secteur audiovisuel à soumettre la candidature d’un réalisateur ou d’une réalisatrice membre de l’ARRQ aux Prix RÉALS 2024. Les Prix RÉALS sont des prix de reconnaissance remis aux réalisateurs (...)
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L’ARRQ annonce les récipiendaires des bourses de démarrage Jean-Marc-Vallée 2024. Cette année n’est pas coutume, ce sont six projets au lieu de cinq qui recevront chacun une aide de 1250$. En effet, face à l’augmentation des candidatures reçues et à la qualité des propositions, le jury n’a pu se (...)
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L’ARRQ est heureuse de constater que le budget du Québec 2024-2025 vient à la rescousse de la production audiovisuelle québécoise malgré un budget plutôt placé sous le signe de la rigueur.
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L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) partage les noms des finalistes de la 5e édition des Prix RÉALS. Ces prix honorifiques, créés en 2018, honorent le travail des réalisateurs et réalisatrices qui ont fait preuve d’audace et d’originalité en matière de réalisation dans la dernière année. Ils visent à reconnaître la prise d’un risque créatif.
On parle de plus en plus de production virtuelle dans l’industrie de l’audiovisuel, une technologie qui permet d’aller bien au-delà des écrans verts. Pour en discuter, l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision a invité, lors de son Salon des membres des Prix Gémeaux, la réalisatrice Jill Niquet Joyal, le réalisateur Jean-François Pouliot et le superviseur de la production virtuelle chez MELS Frédéric Leblanc, dans un échange animé par Gabriel Pelletier, président de l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ).
L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) aura le plaisir de décerner un prix exceptionnel à Denis Côté pour l’ensemble de sa carrière, dans le cadre des Prix RÉALS 2023.
L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) annonce que la 5e édition de la remise des Prix RÉALS sera organisée en partenariat avec le Festival du Nouveau Cinéma (FNC), le 12 octobre prochain au Cœur des Sciences de l’UQAM. Le Festival du Nouveau Cinéma se tiendra, lui, du 4 au 15 octobre 2023.
L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) tient à féliciter Pascale St-Onge pour sa nomination à titre de ministre du Patrimoine canadien. Son expérience en tant que ministre des Sports, ainsi que celle de secrétaire générale de la Fédération nationale des communications et sa bonne connaissance du milieu culturel en font une candidate idéale pour porter les dossiers culturels.
Le réalisateur André Desrochers est devenu, parfaitement par hasard, l’assistant du cinéaste Arthur Lamothe. Leur rencontre date du tournage de « La Guerre des tuques ». « Je sortais à peine de l’université et je voulais travailler en cinéma, se souvient-il. Il manquait un assistant-producteur sur le plateau pour déplacer un décor. J’ai donc travaillé avec André Melançon et Nicole Robert. C’est par André Melançon que j’ai rencontré Arthur. »
Au printemps 1974, cinq réalisateurs, excédés de l’inertie du gouvernement du Québec qui promettait une loi-cadre sur le cinéma depuis 12 ans, se sont retrouvés dans un local en se demandant ce qu’ils pouvaient faire pour que les choses bougent enfin. Dans ce bureau de production que louait Jean Pierre Lefebvre, le réalisateur de « On n’engraisse pas les cochons à l’eau claire », Jacques Leduc, Jacques Gagné, Jean Chabot et Roger Frappier se sont demandé quelle action ils pouvaient poser pour que le gouvernement les écoute enfin.
Dans des temps où s’effritent les conditions, le financement et que les plateformes de diffusion éclatent, l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec demeure plus pertinente que jamais, reconnaissent Patrice Sauvé et Christine Chevarie, réalisateur et réalisatrice réunis dans une table ronde à l’occasion du 50e anniversaire de l’organisme. Si les deux cinéastes mettent en scène des images, celle représentant leur poids sur un plateau de tournage est claire : ils sont seuls. L’AQTIS 514 IATSE regroupe les technicien·ne·s et l’Union des artistes supervise le bon déroulement pour les comédiens. Mais le réalisateur ou la réalisatrice est l’un·e des uniques représentant·e·s de son secteur lorsqu’un projet est en production.
Les dernières années, la Guilde canadienne des réalisateurs (DGC, Directors Guild of Canada) a joint ses forces à celles de l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec afin de faire avancer différents dossiers, tant du côté fédéral que provincial. À l’occasion du 50e anniversaire de l’ARRQ, Dave Forget, directeur général national de la DGC, et Chantal Barrette, agente d’affaires pour le Conseil du Québec, sont revenus sur leur précieux partenariat avec l’association.
Lors de son passage à L’inis en 2011, Christine Chevarie fait la rencontre des Réalisatrices Équitables (RÉ). Elle constate alors que les raisons pour lesquelles des freins se présentent aux femmes lorsque vient le temps d’accéder à des postes de réalisation ou à du financement pour des projets ne sont pas exclusivement individuelles. L’organisation du système mis en place est également en cause, à commencer par le milieu académique, où les étudiantes en cinéma bénéficiaient de peu de modèles. Finalement, elle rejoint l’organisme et siège au conseil d’administration pendant 6 ans. Aujourd’hui, la documentariste fait également partie du C.A. de l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec et à l’occasion du 50e anniversaire, elle note l’évolution des dernières années en matière de parité.
L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) a procédé à l’élection de cinq administrateurs.trices de son conseil d’administration lors de l’assemblée générale des membres qui avait lieu le 24 avril dernier via une vidéoconférence sur la plateforme Zoom.
Attendue depuis longtemps, cette modernisation était plus que nécessaire pour la protection et la sauvegarde de notre culture. Le projet de loi C-11 est un grand chantier de modernisation de la Loi sur la radiodiffusion.
Originaire de Montréal, mais déménagé à Québec il y a presque vingt ans, Richard Lacombe exerce son métier de réalisateur dans la Vieille Capitale, alternant avec des projets qui se tournent dans la métropole. L’un des plus récents projets qu’il a pilotés, soit la série dramatique pour jeunes adultes « La dérape », s’est échelonné sur trois saisons. À l’occasion du 50e anniversaire de l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec, le réalisateur, ancien membre du C.A. de l’ARRQ et enseignant au Cégep Limoilou a partagé les avantages et les désavantages de tourner à l’extérieur de Montréal.
L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec soutient Réalisatrices Équitables (RÉ) depuis les tout débuts. En fait, raconte Nicole Giguère, la bougie d’allumage de la naissance de l’organisme à but non lucratif a eu lieu au Carré Saint-Louis, dans les locaux de l’association lors d’une rencontre de la réalisatrice française Coline Serreau et d’une vingtaine de réalisatrices. « Pendant la première année, nous n’avions pas vraiment de budget et quelques frais », se souvient la réalisatrice de « On me prend pour une Chinoise » et « Prisons sans barreaux ».