
La SARTEC dévoile les finalistes du Prix Jacques-Marcotte du meilleur scénario
La SARTEC vient d’annoncer les auteurs finalistes du tout premier Prix Jacques-Marcotte du meilleur scénario francophone.
4 mars 2020, 07h15
Le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), en collaboration avec la Caisse Desjardins de la Culture et Le Devoir, dévoile les dix personnalités qui deviendront membres de l’Ordre des arts et des lettres du Québec.
SuiteLa Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma (SARTEC) et la Caisse Desjardins de la Culture ont dévoilé les noms des finalistes au Prix Jacques-Marcotte du meilleur scénario francophone de long métrage en cinéma.
SuiteÀ l’occasion d’une soirée festive rassemblant près de 100 membres et partenaires de la SARTEC venus célébrer les 75 ans du syndicat, le Prix Jacques-Marcotte 2024 a été remis à Christine Doyon et Ariane Louis-Seize pour le scénario écrit à quatre mains du film « Vampire humaniste cherche (…)
SuiteLes 22es Sommets du cinéma d’animation se sont terminés avec une remise de prix attendue. La compétition très relevée de cette année a démontré la vitalité et la grande qualité du cinéma d’animation canadien. Juste avant le dévoilement des lauréat·e·s, le cinéaste Pierre Hébert a reçu le (…)
SuiteLe Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), en collaboration avec la Caisse Desjardins de la Culture, dévoile les 16 personnalités qui deviendront membres de l’Ordre des arts et des lettres du Québec, célébrant cette année le 10e anniversaire de sa création.
SuiteDécernée conjointement par le TNM et la Caisse Desjardins de la Culture, cette résidence à la mise en scène, accompagnée d’une bourse de 5 000 $ est remise aux deux ans, en alternance avec la Bourse d’écriture Jean-Louis Roux.
SuiteLe Conseil des arts et des lettres du Québec, en collaboration avec la Caisse Desjardins de la Culture, lance l’appel de candidatures annuel pour l’Ordre des arts et des lettres du Québec, une distinction prestigieuse accordée à des personnalités ayant contribué de manière remarquable à (…)
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Au fil des ans, la Caisse de la Culture a bâti de nombreux partenariats et liens étroits avec diverses institutions culturelles. Le Conseil des arts de Montréal est l’une d’entre elles. Création, en 2010, du Prix de la relève Caisse Desjardins de la Culture, appui au programme de Stages rémunérés en philanthropie, partenaire du Grand Prix du Conseil des arts de Montréal sont quelques exemples du soutien de la Caisse envers le Conseil.
Le parcours artistique de Jasmine Catudal l’a menée naturellement vers l’entrepreneuriat culturel. Formée en scénographie à l’École nationale de théâtre du Canada, elle a travaillé sur des projets dans plusieurs institutions, dont le Théâtre d’Aujourd’hui, l’Espace Libre et La Licorne. Elle a également accompagné le Cirque du Soleil à Las Vegas comme chargée de projets, accessoires et décors, et Robert Lepage à New York. En 2007, elle fonde le OFFTA, reprenant le relais de la vitrine pour les artistes émergents du Festival Trans Amérique. Et c’est peu après que la Caisse Desjardins de la Culture a croisé son chemin.
Dès ses débuts, et au fil des ans, la Caisse de la Culture a fédéré la majorité des associations et regroupements d’artistes de la province. C’est le cas de la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ) qui est un membre fondateur de la Caisse. Membre de la Caisse en tant qu’association depuis 25 ans, la Guilde a plusieurs de ses propres membres qui sont membres individuels à la Caisse de la Culture. Elle a reçu l’aide de la Caisse pour divers projets, entre autres, une commandite de la Conférence internationale des orchestres qui s’est tenue à Montréal en 2017, explique Luc Fortin, guitariste et président de l’organisme.
En 1993, Serge Turgeon, alors président de l’Union des artistes, écrivait dans un éditorial : « Devant les limites du pouvoir subventionnaire, il faut en faire plus en se montrant responsable et inventif ». Cette déclaration lançait officiellement l’idée d’une caisse d’économie de la culture. Deux ans auparavant, il avait déjà lancé l’idée de trouver une façon de donner aux artistes une solution pour faciliter l’accès au crédit. Ainsi est née la Caisse Desjardins de la Culture. Sophie Prégent, actuelle présidente de l’UDA, et Michel Laperrière, vice-président, sont revenus sur l’histoire de cette institution toujours pertinente.
Il y a 25 ans cette année naissait la Caisse Desjardins de la Culture, à l’instigation de l’Union des artistes (UDA), dirigée à l’époque par Serge Turgeon, et grâce à l’audace du mouvement Desjardins, qui s’est engagé dans la fondation de cette coopérative financière dédiée à 100% aux artistes, artisans, travailleurs autonomes, entreprises et organismes culturels. À la même époque, on voyait l’apparition de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) et du Conseil des arts et des lettres du Québec. « Le milieu de la culture se dotait d’outils pour mieux se prendre en main », explique Marie-Christine Cojocaru, directrice générale de la Caisse de la Culture.
Disponible depuis quelques jours, la revue Qui fait Quoi d’octobre 391 souligne les 25 ans de la Caisse Desjardins de la Culture, dresse l’état des lieux de l’industrie québécoise des effets visuels numériques et nous amène sur le plateau de tournage du film « Souterrain » de Sophie Dupuis.
C’est dimanche dernier que s’est conclue la 13e édition du OFFTA, festival d’arts vivants. Durant dix jours, le festival a proposé dix-huit spectacles et performances, quatre studios ouverts, une oeuvre participative sur deux espaces publics, une émission de radio, une investigation littéraire, un atelier sur le travail, des espaces de rétroactions collectives et plusieurs événements festifs. Le OFFTA a maintenu son taux d’assistance impressionnant de 92%cette année. Le public était assurément au rendez-vous alors que 16 représentations affichaient complètes.
Au lendemain de son assemblée générale annuelle, la Caisse de la Culture lance les activités du 25e anniversaire de sa création, sous le thème « La culture en tête et les artistes à coeur depuis 25 ans ! ». Alliée des artistes, moteur de l’économie culturelle et tremplin pour les organismes et les entrepreneurs depuis 1994, la Caisse de la Culture est une coopérative financière unique et solidement ancrée dans son milieu.
L’organisme MU remporte le 34e Grand Prix du Conseil des arts de Montréal ainsi que la bourse de 30 000 $ qui lui est associée. Le prix du jury, offert par la Caisse Desjardins de la Culture, a quant à lui été remis à ZH Festival. 800 personnalités du milieu artistique, du monde municipal et de la communauté des affaires étaient réunies à l’occasion du déjeuner du Grand Prix. L’événement était animé par Christian Bégin grâce à Télé-Québec qui se joint au Conseil en tant que partenaire du Grand Prix pour une première année.
C’est l’organisme La Machinerie des arts qui remporte le Prix de la relève – Caisse de la Culture 2018 et la bourse de 5 000 $ qui lui est associée. Ce prix vise à reconnaître le travail des jeunes collectifs ou organismes professionnels qui posent des actions structurantes pour la relève artistique.
L’écrivaine Catherine Voyer-Léger est la lauréate de la bourse d’écriture Jean-Pierre-Guay – Caisse de la Culture 2018. Cette bourse, dotée d’un montant de 3 000 $ offert par la Caisse de la Culture, est remise une fois l’an à un(e) membre de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) pour un projet d’écriture en cours d’achèvement.
C’est l’Orchestre Métropolitain qui a remporté le 33e Grand Prix du Conseil des arts de Montréal de même que la bourse de 30 000 $ qui lui est associée. Le tout premier Prix du jury, offert par la Caisse Desjardins de la Culture, a quant à lui été remis à l’ATSA, Quand l’Art passe à l’Action.
Parmi les legs de la présidence de Serge Turgeon, il faut compter la Caisse de la culture Desjardins. L’ancien président de l’Union des artistes voulait que les travailleurs autonomes de la culture qui connaissaient des difficultés lorsque venait le temps d’obtenir du crédit, particulièrement quand il s’agissait de l’accès à la propriété, aient un outil pour les aider, explique Marie-Christine Cojocaru, directrice générale de la Caisse, qui connaît le dossier en profondeur pour avoir contribué à sa création.