Historia plonge dans l’été à toute vitesse avec « Splash ». Diffusée le jeudi à 20 h dès le 1er juin, cette nouvelle série documentaire de Productions Avenida dévoile les dessous d’un sport des plus spectaculaires : les courses d’hydroplanes.
Suite
Fondée en 2014, Productions Avenida concilie depuis sa création séries documentaires (« Bing Bang », « Secrets de village »), de fiction (trois saisons de « Jenny »), longs métrages documentaires (« Point d’équilibre ») ainsi que de fiction (« Le club Vinland »). Fondatrice de la boîte, Chantal Lafleur (...)
Suite
Nouvelle série documentaire à Historia, « Secrets de villages » fera voir les magnifiques régions du Québec sous un tout autre angle. Dès le 26 octobre, l’animateur Luis Oliva visite l’Estrie, la Montérégie, le Bas-Saint-Laurent, la Mauricie, la Beauce, la Capitale-Nationale et l’Abitibi à la (...)
Suite
L’idée de départ de « Secrets de village » était de faire une série documentaire sur les villages disparus du Québec. En cours de route, l’équipe a constaté que peu de contenu inédit existait sur la question. C’est pourquoi le projet a évolué vers un nouvel objectif, celui de révéler des mystères, des (...)
Suite
Cette année encore sur les chaînes francophones de Corus, les téléspectateurs pourront apprécier une programmation riche et diversifiée, combinant plusieurs nouveautés, le retour de grands classiques et, surtout, plus que jamais de contenu original de chez (...)
Suite
Les prochaines saisons à Historia seront riches en nouveaux contenus québécois. En plus d’arborer une imagerie revampée, dont un logo repensé, la chaîne spécialisée de divertissement numéro 1 auprès des hommes de 25-54 ans* a dévoilé la liste des productions originales qui seront présentées entre (...)
Suite
L’Alliance Médias Jeunesse (AMJ) a dévoilé les lauréats des Prix d’excellence 2022 lors d’un gala touchant et hilarant qui eut lieu dans la Salle Jean-Despréz à Radio-Canada. Sous la direction de Nathalie Pelletier, l’événement a été animé par Félix-Antoine Tremblay, et scripté par Félix Turcotte. (...)
Suite
Les Films Opale annonce à contrecoeur qu’elle retire des salles de cinéma dès ce jeudi 15 avril au soir le long métrage « Le Club Vinland », réalisé par Benoit Pilon (« Iqaluit », « Décharge », « Ce qu’il faut pour vivre »). À la suite des dernières annonces gouvernementales, le distributeur préfère relancer la sortie du film sous de meilleures conditions par respect pour l’oeuvre et ses artisans.
Signée par Pierre Lapointe et Guido Del Fabbro, la bande sonore du film « Le Club Vinland » est disponible sur toutes les plateformes. Enregistrée avec un ensemble de cordes, un piano, des clarinettes ainsi qu’un piano jouet et une flûte à bec, la musique composée pour « Le Club Vinland » évoque les aspirations, les joies et les épreuves d’un groupe d’élèves et de leur professeur visionnaire.
Le film de science-fiction américain, réalisé par Adam Wingard sur un scénario signé Eric Pearson et Max Borenstein, est arrivé en tête du box-office québécois lors de la fin de semaine de Pâques. Présenté dans 81 salles par Warner Bros., il a engrangé 310 343$, pour un cumul de 433 936 $ depuis sa sortie il y a deux semaines, selon les chiffres fournis par Cinéac.
Les Films Opale prépare la sortie en salle du long métrage « Le Club Vinland », réalisé par Benoit Pilon (« Iqaluit », « Décharge », « Ce qu’il faut pour vivre »). Produit par Chantal Lafleur (Avenida) et scénarisé par Normand Bergeron, Marc Robitaille et Benoit Pilon, le long métrage dramatique met en vedette une impressionnante distribution avec Sébastien Ricard (Frère Jean), Rémy Girard (Frère Léon), François Papineau (Frère Cyprien), Fabien Cloutier (Frère Lucien), Émilie Bibeau (Marguerite), Xavier Huard (Frère Mathieu), Arnaud Vachon (Émile Lacombe), Alexandre Perreault (Jérôme), Alexis Guay (Chouinard), Xavier Rivard-Désy (François) et Guy Thauvette (Frère Roséa). Pierre Lapointe et Guido Del Fabbro signent la musique du film. « Le Club Vinland » prendra l’affiche au Québec le vendredi 2 avril 2021.
La direction générale du cinéma et de la production télévisuelle de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) soutiendra 20 projets en développement dans le cadre du volet 1 de son programme d’aide au développement (aide sélective aux entreprises de production – aide à l’écriture) à la suite du dépôt du 11 novembre 2020, qui comptait 99 projets admissibles.
Les scénaristes Normand Bergeron et Marc Robitaille, ainsi que la productrice Chantal Lafleur, ont approché Benoît Pilon en 2012, pour la première fois, pour lui parler du projet du film « Le Club Vinland » afin qu’il le réalise. Au départ, il lisait les différentes versions du scénario et proposait des commentaires avant de se joindre carrément à l’équipe des auteurs. Il a raconté le tournage du long métrage à Qui fait Quoi lors de l’événement de relance du cinéma québécois, organisé par aimetoncinema.ca, une initiative du Regroupement des distributeurs indépendants de films du Québec.
Les gagnants des Prix d’excellence ont été célébrés à 19h le 27 mai lors de la diffusion en ligne du gala de l’Alliance Médias Jeunesse. Animé par une Catherine Ethier déjantée et en mode confinement, ce dévoilement en ligne a permis de réunir les artisans et collaborateurs de l’industrie des contenus jeunesse qui ont applaudi les 18 récipiendaires des Prix d’excellence 2020.
La prochaine année sera riche en nouveaux contenus originaux sur la chaîne Historia. « Malgré la situation qui force l’univers de la production à être en pause, nous sommes heureux de dévoiler neuf productions originales issues de créateurs québécois. La chaîne qui met l’histoire à l’avant-plan demeure un incontournable dans le paysage télévisuel, particulièrement en cette période de distanciation sociale », avance Julie Godon, directrice principale des chaînes spécialisées francophones chez Corus.
Francesca Chamberland n’en est pas à sa première collaboration avec le réalisateur Benoit Pilon. En plus d’« Iqaluit », elle l’avait également accompagné durant « Ce qu’il faut pour vivre », un film nécessitant une recherche solidement documentée. C’est donc la même rigueur qu’elle applique avec « Vinland », le plus récent projet du cinéaste où l’action se déroule dans un collège pour garçons dans la région de Charlevoix à la fin des années 1940. En entrevue avec Qui fait Quoi, la conceptrice des costumes a précisé son approche quant aux habits portés par les principaux personnages de ce film d’époque.
Chantal Lafleur développe « Vinland » depuis déjà une dizaine d’années. Réunissant un trio de scénaristes composé de Normand Bergeron, Marc Robitaille et Benoit Pilon, la productrice collabore pour la toute première fois avec le réalisateur d’« Iqaluit » afin de mettre en images un récit qui transporte le spectateur à la fin des années 1940 dans un collège pour garçons. Elle révèle avoir invité le cinéaste à se joindre assez tôt dans un processus de scénarisation déjà entamé. « Je voyais dans "Ce qu’il faut pour vivre" le côté historique, la recherche, le Québec et je trouvais très intéressant de travailler avec quelqu’un qui avait déjà visité cela », précise-t-elle en entrevue sur le plateau de tournage.
Pour « Vinland », Patrice Bengle agit à titre de concepteur visuel. Initiateur des premières idées et partenaire du réalisateur Benoit Pilon dans la préparation du projet, il collabore avec Louise Tremblay qui, elle, assure la direction artistique du long métrage qui se déroule en 1949, une époque où le Québec se remet tout juste de la Grande noirceur et se prépare à accueillir de profonds changements marqués par la Révolution tranquille en 1960.
Après une première lecture du scénario de « Vinland », François Gamache visualisait précisément les mêmes images que le cinéaste Benoit Pilon avait imaginé à travers son travail préparatoire. Pour ce premier projet où ils collaborent ensemble, ce fut très facile d’arrimer leur approche, soit une photographie axée sur le clair-obscur lorsque la caméra se promène dans le collège de garçons qui sert de décor au film, et des plans tout en lumière lorsqu’elle suit le frère Jean, un charismatique et progressiste enseignant. Rencontré sur le plateau de tournage, le directeur photo a expliqué les détails d’une démarche beaucoup moins réaliste que les précédents films du réalisateur de « Ce qu’il faut pour vivre ».
Pour son plus récent long métrage, Benoît Pilon, qui s’associe à Normand Bergeron et Marc Robitaille à la scénarisation, voyait l’opportunité de revenir sur une période souvent oubliée de l’histoire du Québec, soit celle qui suit la Grande Noirceur et qui précède la Révolution tranquille. En effet dans « Vinland », il met en images le récit du Frère Jean, un éducateur progressiste oeuvrant dans un collège de garçons situé dans l’est du Québec à la fin des années 1940. « Je trouve très intéressant aussi cette espèce de huis clos et de travailler sur différentes personnalités, sur la rivalité et sur un monde d’hommes », affirme le réalisateur en entrevue sur le plateau de tournage.
« Jenny » est de retour. La deuxième saison de cette série originale d’Unis TV avec Émilie Bierre, Patrice Godin, Mélanie Pilon et Tayna V. Lavoie sera diffusée les mercredis à 18 h 30 dès le 10 avril. Scénarisée et réalisée par Jean-Sébastien Lord et produite par Productions Avenida, la série « Jenny » propose une incursion dans la tête et le coeur d’une jeune adolescente. Loin de se laisser abattre par un diagnostic de leucémie, Jenny (Émilie Bierre) se découvre une force de caractère qui l’aide à combattre sa maladie.