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    [PODCAST] Talsom met l’humain au coeur de toutes ses actions Olivier Laquinte. Photo: Courtoisie

    [PODCAST] Talsom met l’humain au coeur de toutes ses actions

    2 février 2022, 00h16
         |      Article rédigé par Sophie Bernard     

    Lorsque Olivier Laquinte a fondé Talsom, en 2009, on ne parlait pas encore de transformation numérique, mais plutôt d’implantation technologique. La firme de transformation et d’optimisation des entreprises a beaucoup évolué, connaissant une croissance fulgurante. Son fondateur a rapidement réalisé qu’implanter une technologie était beaucoup plus rapide que de s’assurer que les gens des organisations adhèrent au changement. À partir de là, Talsom a délibérément choisi de mettre l’humain au coeur de toutes ses actions. Cela s’est traduit par des gestes très concrets : une certification B Corp, un engagement ferme vers la carboneutralité et la mise en place d’un comité femme. Olivier Laquinte raconte ces grandes transformations lors d’un podcast de l’AQT (Association québécoise des technologies).

    Lorsque Talsom a démarré, à la fin des années 2000, son but était de faciliter l’implantation de grands systèmes dans les organisations. « Nous voulions nous assurer que lorsque les entreprises québécoises se lançaient, elles allaient chercher les bénéfices de ces implantations, explique Olivier Laquinte. Nous avons rapidement réalisé que les technologies étaient plus faciles à implanter que le fait de s’assurer que les gens dans les organisations embarquaient dans le bateau. Quand nous avons commencé à parler de transformation numérique, nous avons pris la mesure de cette transformation en gardant notre philosophie de mettre l’humain au coeur de cette transformation pour créer un impact positif. »

    Talsom désigne la somme des talents. Il semblait alors naturel de s’intéresser aux gens qui composaient l’entreprise, tant en ce qui a trait aux Talsomiens et Talsomiennes qu’aux clients. Pour que la transformation numérique devienne un succès, il faut qu’employés et clients travaillent ensemble. « Le concept peut sembler galvaudé, mais, en même temps, il est tout à l’honneur de mon équipe, note le fondateur de Talsom. Pour être en mesure d’aider nos clients, il faut les inspirer, mais surtout reconnaître ce qui a été fait au cours de 10, 15, 40 ou 50 années d’existence. Ce n’est pas vrai que tout ce qui a été fait n’est pas bon, au contraire, il faut bâtir là-dessus. » Et pour cela, il faut arriver dans un projet avec beaucoup d’humilité selon lui.

    Dans ses premières années d’existence, Talsom avait une équipe stratégie, une autre pour la gestion du changement et encore une autre pour la gestion de projets, tous travaillant en silo. Aujourd’hui, toutes les équipes travaillent ensemble dès le design d’un projet. « Il faut partir des besoins des gens qui sont des clients, des employés, mais aussi des citoyens, souligne Olivier Laquinte. Il faut décliner cela au sein de l’entreprise pour bâtir la transformation. » Il veut inciter les entreprises de consultation et de technologies à prendre conscience qu’elles ont des devoirs et des responsabilités, et qu’elles peuvent avoir un effet positif sur la planète. Et cela dépasse le simple fait d’implémenter des technologies.

    Pour ces raisons éthiques et philosophiques, en 2021, l’entreprise s’est lancé comme défi d’explorer la carboneutralité, une façon additionnelle de créer une incidence positive et de mettre l’humain au coeur de ses préoccupations, et qu’il y demeure. L’idée était de voir comment une entreprise de service comme Talsom peut mesurer et réduire ses émissions de gaz à effet de serre. « Dans le passé, on pensait davantage à l’intersection entre les gens et la capacité technologique, explique le fondateur de Talsom. Aujourd’hui, nous sommes poussés par le besoin de créer une expérience jusqu’au consommateur final. » Dans le même esprit, la firme a aussi initié, en partenariat avec l’AQT, un groupe de discussion autour de l’économie circulaire, avec comme objectif de créer une table de concertation relative à l’industrie des technologies de l’information et ainsi pouvoir faire certaines recommandations auprès des gouvernements à travers un mémoire.

    Talsom s’est assurée de mettre ces intentions en action en obtenant la certification B corp. « La certification nous force et nous pousse à prendre de bonnes décisions qui ont un impact environnemental, mais aussi une présence sociale, une gouvernance, et à diffuser les axes de ce que nous faisons, précise Olivier Laquinte. Nous nous sommes aussi lancé des défis de sobriété technologique, car, si les technologies apportent des solutions, elles sont de très gros pollueurs. » Cela se traduit par diverses initiatives à l’interne.

    L’entreprise a également mis en place un comité femme, ce qui prend, là encore, un effort constant pour arriver à la parité, à l’équité homme-femme, et aussi mettre en place des principes de diversité et d’inclusion. Le comité exécutif de Talsom compte encore une majorité d’hommes, alors que l’administration comprend davantage de femmes. Toutefois, explique le dirigeant, on ne peut pas regarder la situation de façon globale, ce qui donne une certaine image, mais plutôt de façon fragmentée, sous différents angles pour, ensuite, passer à l’action. Olivier Laquinte ne s’en cache pas : il veut davantage de femmes dans le comité aviseur et au conseil d’administration, car cela va lui permettre d’élargir son réseau pour recruter davantage de femmes.

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