[PODCAST] Une série docu-réalité qui raconte les enjeux de la chirurgie plastique
Moi et Cie diffuse cette saison le docu-réalité « Chirurgie plastique : reconstruire la vie », qui montre les dessous de la chirurgie plastique en direct d’une salle opératoire. Au fil des épisodes, les téléspectateurs suivent différentes chirurgies, de quatre chirurgiens réputés au Québec. En entrevue, Nicolas Houde-Sauvé, réalisateur de la série documentaire, raconte comment le tournage s’est déroulé avec la pandémie.
Tout au long de la série, les coulisses de la salle opératoire de différentes chirurgies sont montrées. Quatre chirurgiens avec différentes spécialités montrent l’arrière du métier de chirurgien. En effet, la série docu-réalité permet aux téléspectateurs d’entrer dans la tête des chirurgiens pour comprendre ce qui se passe dans la salle opératoire.
« La série suit le parcours des chirurgiens et on rentre un peu dans son intimité et celle de son patient. C’est fascinant d’être témoin d’une opération de cette envergure. On a vraiment l’impression d’être dans la salle d’opération. Les téléspectateurs peuvent entendre les chuchotements du chirurgien et la caméra est très près de l’opération », raconte le réalisateur. Pour les personnes qui aiment les séries de médecine, « Chirurgie plastique : reconstruire la vie » donne des frissons du début à la fin. « Les chirurgiens étaient contents de partager leur métier dans une docu-réalité. Les épisodes permettent de dépasser les préjugés sur les chirurgies. Toutes les histoires sont émotivement chargées dans cette série », explique Nicolas Houde-Sauvé.
Avec la pandémie, le tournage du docu-réalité a toutefois été plus ardu qu’à l’habitude. Nicolas Houde-Sauvé raconte que le tournage a été un gros défi pour l’équipe de scénarisation. « On est très impressionné d’avoir réussi à tourner malgré la pandémie, dit-il. Il faut lever le chapeau à l’équipe de production et de coordination. On s’est fait tester plusieurs fois. Ce n’était pas facile de rentrer dans un hôpital pendant cette période. On a respecté le protocole et on se sentait chanceux d’être là. »