«Inferno».
Photo: Myriam Baril-Tessier
« Inferno », quand l’homme s’abandonne à la machine
Dans une pièce sombre, 24 corps métalliques gisent, pendus. Ils attendent leurs marionnettes : les gens du public. Car « Inferno » est une performance de la fusion, qui pousse les codes de l’immersion à leur maximum. Les participants deviennent performeurs, les humains se meuvent en machines. Enfermés dans des exosquelettes, les spectateurs perdent le contrôle de leur corps, entraînés dans une chorégraphie endiablée contre laquelle ils ne peuvent lutter.