Le regard distancié de Guillaume Harvey 

« À mon père et nos badlucks ». Voilà la dédicace que Guillaume Harvey fait à son père à la fin de « Les sentiers battus », un court métrage inspiré de sa relation avec son paternel. Pour ce projet cinématographique qu’il a tourné à Saint-David-de-Falardeau, au nord de Chicoutimi, le cinéaste originaire du Saguenay a oeuvré seul, lui qui apprécie la collaboration créative. C’était notamment le cas pour « En attendant Pascal » réalisé et scénarisé en tandem avec Marc-André Carpentier. Qui fait Quoi a rencontré le réalisateur au Festival REGARD pour en apprendre davantage sur sa démarche artistique.