Documentariste engagée, Amy Miller a choisi pour son quatrième film d’examiner trois situations sur trois continents différents. Se déplaçant de Gaza à Arauca en Colombie en passant par Rhénanie en Allemagne, la réalisatrice montréalaise d’adoption pose un regard rempli d’espoir sur ces communautés avec « Le pouvoir de demain ». En effet, au cours de son périple, elle s’intéresse à des groupes et à des individus qui réfléchissent à des solutions à long terme face au régime oppressif qui les bouleverse. « Ce n’est pas évident dans le monde dans lequel on vit de proposer ces pistes. Je voulais vraiment explorer des situations ou des cas où c’est compliqué », affirme la réalisatrice en entrevue.