La SARTEC dénonce la volte-face du gouvernement fédéral relative à la taxe sur les services numériques et invite le premier ministre à ne pas accorder de faveurs aux géants du numérique, sous peine de perdre une bataille aux conséquences désastreuses pour la culture canadienne et québécoise.
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Face au développement sans balise de l’intelligence artificielle dans le secteur des arts et de la culture, les présidentes et présidents des six principaux syndicats de l’industrie culturelle québécoise (AQTIS 514 IATSE, ARRQ, GCR Québec, GMMQ, SARTEC, UDA) demandent aux gouvernements (…)
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À l’occasion d’un rendez-vous festif à la Société des arts technologiques à Montréal, la Société des auteur·e·trice·s de radio, télévision et cinéma (SARTEC) et la Caisse Desjardins de la Culture ont décerné le Prix Jacques-Marcotte 2025 du meilleur scénario francophone à Robin Aubert et (…)
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Suivant le dépôt du projet de loi 109, Loi affirmant la souveraineté culturelle du Québec et édictant la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique, quatre associations représentant près de 20 000 artistes — l’Association des réalisateurs et (…)
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L’intelligence artificielle (IA) transforme à grande vitesse le monde du travail et le secteur culturel n’y échappe pas. Qu’il s’agisse de l’audiovisuel, de la littérature, de la musique, de l’illustration, des arts visuels ; que ce soit pour la génération d’idées, de concepts, de contenus (…)
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En reconduisant Steven Guilbeault dans ses fonctions de ministre de la Culture et de l’Identité canadiennes, le premier ministre Mark Carney fait le choix d’offrir au milieu culturel la stabilité dont il aura besoin ces prochaines années pour affronter les nombreux défis qui l’attendent.
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La Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma (SARTEC) et la Caisse Desjardins de la Culture ont dévoilé les noms des finalistes au Prix Jacques-Marcotte du meilleur scénario francophone de long métrage en cinéma.
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La SARTEC dénonce la volte-face du gouvernement fédéral relative à la taxe sur les services numériques et invite le premier ministre à ne pas accorder de faveurs aux géants du numérique, sous peine de perdre une bataille aux conséquences désastreuses pour la culture canadienne et québécoise.
Face au développement sans balise de l’intelligence artificielle dans le secteur des arts et de la culture, les présidentes et présidents des six principaux syndicats de l’industrie culturelle québécoise (AQTIS 514 IATSE, ARRQ, GCR Québec, GMMQ, SARTEC, UDA) demandent aux gouvernements d’agir promptement à travers L’Art est humain !, un manifeste pour la défense de la création authentique.
À l’occasion d’un rendez-vous festif à la Société des arts technologiques à Montréal, la Société des auteur·e·trice·s de radio, télévision et cinéma (SARTEC) et la Caisse Desjardins de la Culture ont décerné le Prix Jacques-Marcotte 2025 du meilleur scénario francophone à Robin Aubert et Julie Roy pour le film « Tu ne sauras jamais ».
Suivant le dépôt du projet de loi 109, Loi affirmant la souveraineté culturelle du Québec et édictant la Loi sur la découvrabilité des contenus culturels francophones dans l’environnement numérique, quatre associations représentant près de 20 000 artistes — l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ), la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ), la Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma (SARTEC), et l’Union des artistes (UDA) — s’unissent pour réagir aux mesures prévues.
L’intelligence artificielle (IA) transforme à grande vitesse le monde du travail et le secteur culturel n’y échappe pas. Qu’il s’agisse de l’audiovisuel, de la littérature, de la musique, de l’illustration, des arts visuels ; que ce soit pour la génération d’idées, de concepts, de contenus ou encore pour des tâches administratives, toutes les facettes des métiers sont concernées.
En reconduisant Steven Guilbeault dans ses fonctions de ministre de la Culture et de l’Identité canadiennes, le premier ministre Mark Carney fait le choix d’offrir au milieu culturel la stabilité dont il aura besoin ces prochaines années pour affronter les nombreux défis qui l’attendent.
La Société des auteur.e.trice.s de radio, télévision et cinéma (SARTEC) et la Caisse Desjardins de la Culture ont dévoilé les noms des finalistes au Prix Jacques-Marcotte du meilleur scénario francophone de long métrage en cinéma.
Suivant le dévoilement du budget 2025-2026 du Québec, cinq associations représentant près de 20 000 artistes — l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ), la Guilde canadienne des réalisateurs - Conseil du Québec (GCR Québec), la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ), la Société des auteur·e·trice·s de radio, télévision et cinéma (SARTEC), et l’Union des artistes (UDA) — s’unissent pour réagir aux mesures annoncées.
La SARTEC applaudit le plan d’action présenté par la ministre Pascale St-Onge aujourd’hui qui permettra, s’il est mis en oeuvre, de mieux protéger CBC/Radio-Canada des humeurs politiques et des contextes menaçants. Cette association espère vivement qu’en parallèle de ce projet, la Société Radio-Canada fera rapidement évoluer ses pratiques d’employeur envers les artistes.
Dans le cadre de la consultation organisée par le Groupe de travail sur l’avenir de l’audiovisuel au Québec (GTAAQ), cinq associations représentant près de 20 000 artistes — l’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ), la Guilde canadienne des réalisateurs - Conseil du Québec (GCR Québec), la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ), la Société des auteur·e·trice·s de radio, télévision et cinéma (SARTEC), et l’Union des artistes (UDA) — s’unissent pour demander un financement plus équitable et de meilleures conditions de travail pour leurs membres.
L’Académie canadienne du cinéma et de la télévision - section Québec a dévoilé les 7 participant·e·s sélectionné·e·s de la troisième cohorte du Pitch des scénaristes - Séries coprésenté par Netflix et le Fonds Bell et soutenu par la Sartec. Ce programme de perfectionnement professionnel vise à faire avancer la carrière de créateur·rice·s issu·e·s de groupes sous-représentés racisés ou de la communauté LGBTQ2S+ dans l’industrie du cinéma et de la télévision au Québec.
Dans une lettre envoyée aujourd’hui, une coalition de huit grands syndicats et guildes, représentant plus de 87 000 scénaristes, réalisateur·trices, interprètes, artistes et membres des équipes de production du cinéma et de la télévision canadiens, a demandé à Téléfilm Canada de ne plus financer les productions qui refusent de signer les ententes collectives ou qui ne respectent pas les normes minimales, privant ainsi de protection les professionnel·les de l’industrie créative.
Qui fait Quoi vient de publier l’édition de septembre 2024 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement revue, modernisée et améliorée. Disponible en ligne en format numérique PDF (89 pages), cette 443e édition de la revue Qui fait Quoi traite notamment de la perte d’emplois dans le secteur des effets visuels, de RITUAL, un nouveau joueur en distribution de films, du programme « Voix [in]visibles » du Centre PHI avec Jorge Camarotti et Ana Brzezińska, des films « L’habit du héros » réalisé par Léa Pool (Lyla Films), en couverture, et « Who Loves the Sun » réalisé par Arshia Shakiba et coproduit par Zaynê Akyol, des émissions de télé « Musique Plus en rappel » (Zone3), de Line Jacob, régisseure honorée cette année du Gémeaux des Artisan·e·s.
Qui fait Quoi vient de publier l’édition d’août 2024 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement revue, modernisée et améliorée. Disponible en ligne en format numérique PDF (77 pages), cette 442e édition de la revue Qui fait Quoi traite du Groupe de travail sur l’avenir de la production télévisuelle et cinématographique québécoise dirigé par Monique Simard et Philippe Lamarre, de diversité avec Angie Augustin, Alex Custodio et Patrice Jecrois, des films « Amazonie, à la rencontre des gardiens et des gardiennes de la forêt » de Santiago Bertolino, « Celles qui luttent » de Sarah Baril Gaudet (en couverture), des séries télé « Société distincte » de Benoit Lach (Blachfilms) et « La Terre appelle Mathilde » de Anthony Coveney (Roméo & Fils), de Fantasia avec Pierre Corbeil et Vincenzo Natali, qui encourage les cinéastes de genre à « briser l’algorithme » et à créer sans contraintes, et plus encore