[PODCAST] La Banque Nationale, partenaire des start-ups québécoises
Première vice-présidente, Entreprises et Gestion Privée – Groupes spécialisés à la Banque Nationale, Élaine Morissette était aux premiers rangs lors du Démo Day organisé par le Consortium québécois des incubateurs High-Tech (ACET Banque Nationale, Centech, CTS et Zú) et conjointement organisé avec la Banque Nationale. Pendant la matinée qui se déroulait au nouvel Atrium de Zú de la Maison Alcan, 22 entreprises québécoises en démarrage dans les secteurs du manufacturier 4.0, de la santé numérique ainsi que de la technologie numérique et de l’intelligence artificielle y ont pris part. Le Lien MULTIMÉDIA a discuté avec Élaine Morissette après l’événement.
« Nous sommes partenaires de Zú, mais aussi d’autres incubateurs et accélérateurs, souligne la première vice-présidente, Entreprises et Gestion Privée – Groupes spécialisés à la Banque Nationale. Avec Zú, nous sommes partenaires de plusieurs événements et nous accompagnons les start-ups sur des points financiers lorsqu’elles nous le demandent. Nous participons aussi à la sélection pour des événements comme le Démo Day. Nous avons même des spécialistes qui se rendent sur les lieux pour accompagner les entreprises qui ont le goût de discuter avec un banquier et faire un partage d’expertise. » La Banque Nationale a aussi des équipes qui comptent des spécialistes pour les start-ups dans des industries dédiées telles que la technologie et le divertissement.
Pour l’institution financière, il demeure important d’aider les jeunes pousses. Et, à l’inverse, se trouver en contact avec elles est très inspirant et permet de prendre connaissance de plein d’idées et d’en donner à ses équipes. Elle accompagne aussi ponctuellement les gens qui le désirent en rendant ses ressources disponibles.
Élaine Morissette se dit très impressionnée et très inspirée par les start-ups qui ont participé au Démo Day. « Les clients qui sont venus voir comment aider et inspirer les jeunes pousses sont sûrement repartis avec un sens de l’urgence pour innover pour eux-mêmes, ajoute-t-elle. On repart avec le goût de faire évoluer les choses, on en retire énormément. » Elle affirme également qu’il est dans les valeurs et les ambitions de la Banque Nationale d’être présente et de faire tout ce qui est possible pour maximiser les entreprises au Québec et au Canada. « On se sent définitivement responsable », conclut Élaine Morissette.