
En 2022, on célébrera les cinq ans de la plus grande mobilisation féministe de l’histoire de la musique québécoise. « À l’été 2017, suivant une vague de dénonciation #MeToo et le partage sur les réseaux sociaux de programmations de festivals où la représentation féminine était souvent inférieure à 10 %, des centaines de créatrices ont publié une lettre ouverte dans Le Devoir qui a fait beaucoup de bruit », rappelle la professeure associée du Département de musique de l’UQAM Vanessa Blais-Tremblay.