« Ça sent la coupe » en ouverture des RVCQ, un « match parfait »
Rien de tel qu’une comédie intelligente, sensible et mettant le sport fétiche des Québécois, que dis-je leur religion, pour ouvrir la rencontre annuelle de notre industrie cinématographique. C’est avec le troisième long métrage de Patrice Sauvé, « Ça sent la coupe », que les Rendez-vous du cinéma québécois (RVCQ) ouvriront leurs portes le 22 février prochain. Un film attendu pour le retour du cinéaste Patrice Sauvé au grand écran, par ceux qui ont dévoré le roman « Ça sent la coupe » de Matthieu Simard, et bien entendu par le clan des amateurs des Canadiens de Montréal. « Notre chance est d’avoir fait un film sur "nous", le "nous" ici étant général, et les Rendez-vous l’ont choisi. C’est comme un match parfait », se réjouit Patrice Sauvé en entrevue.