Startup Montréal officialise sa transition pour devenir Québec Tech. Cette transformation donne suite à l’aide financière de 7 M$ sur trois ans octroyée à l’organisme par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE) dans le cadre de la Stratégie québécoise (…)
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Après avoir travaillé quelques années dans le secteur de l’usinage, Charles Gauthier retourne aux études et s’inscrit à l’École de technologie supérieure (ÉTS) en 2020. Pendant qu’il suit ses cours, il décide de fonder Géodar, une jeune entreprise spécialisée dans la construction d’un (…)
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Ingénieur mécanique de formation, Aymeric Guy détient un baccalauréat en génie de Polytechnique Montréal, une maîtrise de l’université suisse EPFL en génie mécanique, orientation biomécanique, une maîtrise en médecine de la Harvard Medical School en génie médical et biomédical et un (…)
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C’est lorsqu’il étudiait en génie électrique et électronique à l’École de technologie supérieure que Jérémy S. Boucher a l’idée de lancer une entreprise qui agirait dans le secteur de l’énergie. Avec son père Dan Boucher, et son collègue Nicolas Mary, également diplômé de l’ÉTS, il fonde en (…)
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Le rapport 2024 Global Startup Ecosystem Report (GSER) de Startup Genome et du Global Entrepreneurship Network a été lancé à l’occasion de la London Tech Week. Le GSER, alimenté par l’ensemble de données sur les écosystèmes de startups dont la qualité est la plus contrôlée au monde, analyse (…)
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Ingénieur en ingénierie du matériel informatique, diplômé de l’Université d’Alberta à Edmonton, Mike Blouin a commencé sa carrière chez XBox Live, avant de diriger l’équipe du service d’informatique quantique en nuage de Microsoft, ce qui était assez nouveau à l’époque. Dans ce cadre, il a (…)
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Au fil de sa carrière, Philip Raphals a toujours travaillé de près ou de loin pour des entreprises en énergie. Il a été coordinateur scientifique adjoint au Bureau de soutien de l’examen public du Projet Grande-Baleine au début des années 1990 et a travaillé pendant plus de 27 ans comme (…)
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Startup Montréal officialise sa transition pour devenir Québec Tech. Cette transformation donne suite à l’aide financière de 7 M$ sur trois ans octroyée à l’organisme par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE) dans le cadre de la Stratégie québécoise de recherche et d’investissement en innovation 2022-2027 (SQRI2).
Après avoir travaillé quelques années dans le secteur de l’usinage, Charles Gauthier retourne aux études et s’inscrit à l’École de technologie supérieure (ÉTS) en 2020. Pendant qu’il suit ses cours, il décide de fonder Géodar, une jeune entreprise spécialisée dans la construction d’un capteur intelligent pour les excavatrices. Né dans la petite ville de Saint-Ours, en Montérégie, l’ingénieur alors adolescent accompagne ensuite ses parents qui déménagent à Sorel-Tracy, une ville industrielle où il fait ses premières armes en génie mécanique.
Ingénieur mécanique de formation, Aymeric Guy détient un baccalauréat en génie de Polytechnique Montréal, une maîtrise de l’université suisse EPFL en génie mécanique, orientation biomécanique, une maîtrise en médecine de la Harvard Medical School en génie médical et biomédical et un doctorat de Polytechnique en génie mécanique. Sa thèse a été réalisée au Laboratoire de modélisation biomécanique et de chirurgie assistée par ordinateur du professeur Carl-Éric Aubin. C’est lors de son passage en Suisse qu’il commence à s’intéresser à l’entrepreneuriat.
C’est lorsqu’il étudiait en génie électrique et électronique à l’École de technologie supérieure que Jérémy S. Boucher a l’idée de lancer une entreprise qui agirait dans le secteur de l’énergie. Avec son père Dan Boucher, et son collègue Nicolas Mary, également diplômé de l’ÉTS, il fonde en 2020 vadiMAP, une entreprise qui développe des solutions pour innover dans le secteur de la transition énergétique en proposant une nouvelle option soutenue par l’intelligence artificielle.
Le rapport 2024 Global Startup Ecosystem Report (GSER) de Startup Genome et du Global Entrepreneurship Network a été lancé à l’occasion de la London Tech Week. Le GSER, alimenté par l’ensemble de données sur les écosystèmes de startups dont la qualité est la plus contrôlée au monde, analyse les données de plus de 4,5 millions d’entreprises réparties dans plus de 300 écosystèmes d’innovation entrepreneuriale.
Ingénieur en ingénierie du matériel informatique, diplômé de l’Université d’Alberta à Edmonton, Mike Blouin a commencé sa carrière chez XBox Live, avant de diriger l’équipe du service d’informatique quantique en nuage de Microsoft, ce qui était assez nouveau à l’époque. Dans ce cadre, il a eu à travailler avec d’autres entreprises en informatique quantique aux États-Unis, en France et en Grande-Bretagne. Même s’il se trouvait bien chez Microsoft, sa passion demeurait le matériel. Il s’est mis à chercher de nouvelles façons d’analyser les circuits électroniques dans ses temps libres pour fonder officiellement Cadstrom, à Montréal en janvier 2023.
Au fil de sa carrière, Philip Raphals a toujours travaillé de près ou de loin pour des entreprises en énergie. Il a été coordinateur scientifique adjoint au Bureau de soutien de l’examen public du Projet Grande-Baleine au début des années 1990 et a travaillé pendant plus de 27 ans comme directeur exécutif chez Helios Centre, un organisme de recherche à but non lucratif, offrant une expertise indépendante en énergie et en changements climatiques. Sans surprise, il a continué dans le secteur, fondant en janvier 2018 NovoPower International, une entreprise qui crée des systèmes permettant aux centres de données à refroidissement liquide de générer jusqu’à 10 % de leur consommation électrique à partir de leur propre chaleur résiduelle.
Ingénieure en biomédical, Fiona Milano a commencé, il y a cinq ans, un doctorat à Polytechnique Montréal. Travaillant pour cela dans un laboratoire, elle s’est rendu compte qu’énormément de déchets de plastique étaient générés lors d’expériences. Ceux-ci étaient jetés directement, finissant à l’incinérateur. Lorsqu’elle en parle à Maxime Dimidschstein, un ingénieur informatique, tous deux ont commencé à réfléchir à des façons de réduire ces déchets. Ainsi est née, en février 2023, la start-up Phoenix Impact.
Né au Moyen-Orient, Tarik Qahawish déménage avec sa famille au Québec pendant la guerre du Golfe. Il étudie à l’Université Concordia en commerce et affaires internationales. Il trouve son premier emploi chez McDonald’s, où il est responsable du magasin, de la marchandisation et des changements de menus. À l’époque, il n’y avait pas d’écran et tout devait se faire à la main, se souvient-il. Lorsqu’Internet se développe, il commence à s’y intéresser et se joint à une entreprise montréalaise qui avait développé un moteur de recherche bien avant l’arrivée de Google. C’est là qu’il apprend beaucoup sur le Web, la publicité, l’optimisation des moteurs de recherche, le marketing par courriel et les réseaux sociaux. Mais c’est lorsqu’il arrive chez Aeroplan Canada qu’il développe davantage ses aptitudes.
Samuel Lemieux Dupont ne s’en vante pas quand il donne des conférences dans les écoles, mais il a quitté le cégep assez jeune pour lancer sa première entreprise, car il savait qu’il voulait se lancer en entrepreneuriat. Cela étant dit, il n’a jamais arrêté d’étudier, suivant plus de 27 cours en ligne dans des universités de façon autonome. Au fil des ans, il a fondé quelques entreprises et travaillé dans divers emplois. En janvier 2019, il cofonde, avec sa conjointe Jenny Essiambre, Kiima, une entreprise qui développe des produits écologiques pour l’hygiène corporelle. Le couple d’entrepreneurs voulait faire quelque chose de positif pour l’environnement.
Phil Dallaire est tombé dans l’entrepreneuriat très jeune. Alors qu’il étudiait en administration et gestion des affaires à l’Université du Québec à Trois-Rivières, il devient franchisé pour College Pro, une entreprise qui donne la possibilité d’acquérir une expérience managériale tout en faisant ses études. Il lance ensuite Philippe Produits Équitables, une entreprise spécialisée dans l’industrie du café équitable. L’expérience ne durera qu’un an, mais cela ne l’empêche pas de se relancer en affaires alors qu’il fonde Ibboo, une start-up qui développe des produits pour mieux dormir. Près de trois ans plus tard, il se lance dans une nouvelle aventure : eezly, un comparateur de prix d’épiceries.
Entrepreneure dans l’âme, Roxanne Lessard a lancé sa première compagnie de bijoux en 2014. Cette envie l’a suivie tout le long de ses études jusqu’à ce qu’elle obtienne le poste de directrice générale dans une jeune entreprise en technologie financière. Désirant mieux connaître les technologies, elle quitte son emploi pour aller apprendre la programmation et le développement Web. Parallèlement, elle a siégé à de nombreux conseils d’administration, ce qui lui a donné l’idée de Panorama, une start-up qu’elle a lancée en juillet 2022 et qui vient simplifier la gouvernance des organismes et des entreprises.
Médecin de famille à temps partiel, Vincent Dumouchel a un pied dans la technologie. Avant même d’avoir fini ses études, il s’intéressait au dessin applicatif pour le plaisir. Il a passé quatre ans chez TELUS Santé où il a aidé l’équipe à concevoir des applications pour les médecins. D’ailleurs, souligne-t-il, 30 % des médecins canadiens utilisent des logiciels de TELUS pour prendre leurs notes cliniques et s’occuper de leurs patients. Pendant sa pratique, le médecin s’est rendu compte du nombre d’heures qu’il passait à remplir des papiers pour les assurances maladie de ses patients. Voyant là un problème réel, il a créé Redeo API, une start-up de numérisation des formulaires de demande d’indemnisation et de souscription d’assurance médicale.
Formée en génie mécanique et artiste visuelle à ses heures, Chloë Ryan a commencé à réfléchir à des outils qui pourraient aider les artistes visuels dans l’exécution de leur art et à une solution pour qu’ils puissent produire leurs oeuvres et les dupliquer dans l’objectif de les vendre à un public élargi. En 2020, elle fonde Acrylic Robotics, une start-up technologique qui s’est donné pour mission de rendre les beaux-arts plus accessibles.