Victime de son succès, MPC Montréal a soif de talents
Dans le cercle fermé des effets visuels, Montréal a su tirer son épingle du jeu, jusqu’à attirer de plus en plus de studios étrangers. C’est le cas de MPC, fondé à Londres en 1970, qui a ouvert deux studios canadiens, l’un à Montréal et l’autre Vancouver. Dans le portfolio du studio, des films d’envergure tels que « X-Men : Days of Future Past », « The Martian » ou le dernier « Harry Potter ». Mais voilà, en trois ans, MPC Montréal est passé de 5 à plus de 650 employés, et ce n’est pas assez. Michael Jalbert, gestionnaire d’acquisition de talents chez MPC, a parlé de ce manque de main-d’oeuvre lors d’une entrevue vidéo.