Trotsky : une histoire montréalaise selon Kevin Tierney
Produisant le prochain film de son fils, Kevin Tierney voit l’histoire de Trotsky ancrée dans le paysage montréalais, mais impossible de savoir si le film sera traduit en français. « Je ne sais pas encore si on fera traduire le film, ce n’est pas ma décision, dit-il. Moi, j’aimerais bien parce que je veux que mes films soient vus par le plus de gens possible, mais encore faudra-t-il voir si on est capable de le faire traduire au Québec pour la France ! » Filmé en anglais, mais ayant plusieurs passages où le bilinguisme est à l’honneur, Kevin Tierney pense d’abord au marché canadien et américain avant de songer à l’Europe. Il ne vise rien de moins que d’ouvrir le prochain festival de Toronto l’an prochain et de faire la sortie en salle le lendemain.