Le Festival du film de l’Outaouais annonce la nomination de Denise Robert à son Conseil d’administration de sorte que celui-ci soit composé d’un nombre impair de membres. Denise Robert, incontournable personnalité du cinéma canadien, est native de Eastview devenu Vanier, dans le secteur (…)
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« Lignes de fuite » marque la 11e collaboration entre Émile Gaudreault et Denise Robert, une rareté dans le paysage cinématographique québécois. C’est le coscénariste et coproducteur qui a eu l’idée de transposer au grand écran la pièce de Catherine Chabot, un texte qui entrait parfaitement (…)
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Lorsqu’on lui parle du projet d’adaptation cinématographique de la comédie musicale « Les belles-soeurs », qui a obtenu le soutien de la SODEC en mai dernier, Denise Robert pousse un soupir de soulagement. Visiblement enthousiaste, la productrice raconte que cela fait maintenant 10 ans (…)
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Les producteurs Denise Robert et Émile Gaudreault dévoilent une entente avec la maison de production cinématographique Gaumont pour la mise en oeuvre de l’adaptation de la comédie « Menteur » pour la France. Le premier tour de manivelle a été donné le 10 mai.
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Le Regroupement des producteurs indépendants de cinéma du Québec adresse une lettre au Premier Ministre et à la Ministre de la Culture. Les signataires de cette lettre, Pierre Even (Item 7), Nicole Robert (Go Films), Luc Déry (Micro_scope), Denise Robert (Cinémaginaire), Claude Veillet (…)
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Denise Robert tente de peine et de misère de trouver une boule de cristal sur les sites de vente en ligne. Peine perdue, il n’en reste plus une seule. Blague à part, la productrice reconnaît que l’on vit, pour la première fois, quelque chose d’inattendu. Personne n’aurait pensé qu’on (…)
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Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One et Cinémaginaire soulignent que « Menteur » connaît un excellent départ et se retrouve au 1er rang du box-office québécois devant les blockbusters américains, dont « Spider-Man : Far From Home » (« Spider-Man : Loin des siens »), Stuber, (…)
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Le Festival du film de l’Outaouais annonce la nomination de Denise Robert à son Conseil d’administration de sorte que celui-ci soit composé d’un nombre impair de membres. Denise Robert, incontournable personnalité du cinéma canadien, est native de Eastview devenu Vanier, dans le secteur d’Ottawa.
« Lignes de fuite » marque la 11e collaboration entre Émile Gaudreault et Denise Robert, une rareté dans le paysage cinématographique québécois. C’est le coscénariste et coproducteur qui a eu l’idée de transposer au grand écran la pièce de Catherine Chabot, un texte qui entrait parfaitement dans la ligne éditoriale de Cinémaginaire, des oeuvres grand public qui bousculent et font réfléchir. Mais avant que ce long métrage coréalisé par l’auteure et Miryam Bouchard n’arrive dans les salles, des décisions ont dû être prises quant aux paramètres de tournage à adopter, raconte en entrevue la productrice.
Lorsqu’on lui parle du projet d’adaptation cinématographique de la comédie musicale « Les belles-soeurs », qui a obtenu le soutien de la SODEC en mai dernier, Denise Robert pousse un soupir de soulagement. Visiblement enthousiaste, la productrice raconte que cela fait maintenant 10 ans qu’elle rêve de pouvoir transposer au grand écran l’oeuvre de René-Richard Cyr, elle-même basée sur le texte original de Michel Tremblay. Sa rencontre avec René-Richard Cyr, poursuit-elle, remonte à « Joyeux Calvaire » de Denys Arcand, qu’elle a produit en 1996, puis a évolué au fil des projets (« Nuit de noces », « Le sens de l’humour »).
Les producteurs Denise Robert et Émile Gaudreault dévoilent une entente avec la maison de production cinématographique Gaumont pour la mise en oeuvre de l’adaptation de la comédie « Menteur » pour la France. Le premier tour de manivelle a été donné le 10 mai.
Le Regroupement des producteurs indépendants de cinéma du Québec adresse une lettre au Premier Ministre et à la Ministre de la Culture. Les signataires de cette lettre, Pierre Even (Item 7), Nicole Robert (Go Films), Luc Déry (Micro_scope), Denise Robert (Cinémaginaire), Claude Veillet (Téléfiction), Richard Goudreau (Melenny Productions), Roger Frappier (Max Films) et Christian Larouche (Christal Films Productions) rappellent la problématique des assurances et suggèrent la mise en place un fonds d’indemnisation de 50 millions $ qui servirait dans les cas où une réclamation est reliée à la COVID ou une autre maladie transmissible.
![[COVID-19] Denise Robert voudrait un panier bleu pour la culture québécoise](local/cache-gd2/fe/01417f98c27780dfdc4c4eb5d4046f.jpg?1726260657)
Denise Robert tente de peine et de misère de trouver une boule de cristal sur les sites de vente en ligne. Peine perdue, il n’en reste plus une seule. Blague à part, la productrice reconnaît que l’on vit, pour la première fois, quelque chose d’inattendu. Personne n’aurait pensé qu’on vivrait avec cette chose dans nos vies. Cinémaginaire se trouvait en tournage du long métrage « Sam » (titre de travail) lorsque la fermeture des plateaux a été décrétée par le gouvernement provincial. Sur 23 jours de tournage prévus, 9 étaient déjà faits.
Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One et Cinémaginaire soulignent que « Menteur » connaît un excellent départ et se retrouve au 1er rang du box-office québécois devant les blockbusters américains, dont « Spider-Man : Far From Home » (« Spider-Man : Loin des siens »), Stuber, Toy Story 4 (« Histoire de jouets 4 »), « Aladdin », « Yesterday », « Rocketman » et « Men in Black : International » (« Hommes en noir : internartional »).
Films Séville vient de dévoiler l’affiche du film « Menteur » réalisé par Émile Gaudreault, écrit par Émile Gaudreault, Éric K. Boulianne et Sébastien Ravary, et produit par Denise Robert (Cinémagaire) et Émile Gaudreault.
Contrairement à une production comme « 1:54 » où, avec peu de moyens et des éclairages naturels, Denise Robert a géré une équipe réduite de professionnels, la productrice a adapté le tournage de « La chute de l’empire américain » en fonction d’un budget relativement limité et d’une équipe somme toute importante. Grâce à l’efficacité du directeur photo Van Royko, issu du documentaire, et la précision du réalisateur Denys Arcand, la présidente de Cinémaginaire a pu faire bénéficier à l’équipe de 45 journées de tournage d’environ huit ou neuf heures chacune.
C’est avec Léa Pool que Denise Robert a assuré sa première production. Depuis « À corps perdu », les deux femmes partagent une relation professionnelle traversée par différentes collaborations (« La demoiselle sauvage » et « Mouvements du désir ») et cristallisée par une sincère amitié réciproque. C’est sans surprise qu’elles se retrouvent avec « Double peine », le nouveau long métrage documentaire réalisé par la cinéaste d’origine suisse. La productrice de Cinémaginaire s’est assise pour discuter avec Qui fait Quoi de cette coproduction entre la Suisse et le Canada.
Huit ans après le succès du film « De père en flic », Denise Robert retrouve les personnages de Jacques et Marc Laroche, interprétés par Michel Côté et Louis-José Houde. Avec « De père en flic 2 », la productrice renoue également avec le réalisateur, coscénariste et coproducteur, Émile Gaudreault, dont elle a également supervisé les précédents longs métrages (plus récemment « Le sens de l’humour », « Le vrai du faux » et « Père fils thérapie ! », l’adaptation française de la populaire comédie).
Pour Denise Robert, les deux dernières années furent très flic et comédie, puisque la productrice et présidente fondatrice de Cinémaginaire a consacré beaucoup de son temps à mettre en image l’univers d’Émile Gaudreault. Après le succès de « De père en flic » sorti en 2009, le tandem a revisité cette folle histoire de famille chez nos cousins français, en plus de tourner la suite attendue de la fiction québécoise mettant en vedette Michel Côté et Louis-José Houde. Entretien avec la productrice d’expérience en vue de la sortie en salle québécoise du penchant européen « Père fils thérapie » le 6 janvier.
Les Films Séville ont dévoilé l’affiche du film « De père en flic 2 », réalisé par Émile Gaudreault et produit par Denise Robert (Cinemaginaire).
À l’affiche depuis le 13 octobre, le premier long métrage de Yan England est une réussite en festivals (il cumule déjà trois prix), au box-office (il vient tout juste d’atteindre le million), et surtout, ce qui est primordial pour son réalisateur, il a un impact auprès de ses spectateurs. Partout où le film passe, « 1:54 » apporte une réelle ouverture au dialogue, ce dont Yan England est pleinement conscient. Entretien avec le comédien et cinéaste talentueux, dont le court métrage « Henry » était sélectionné aux Oscars en 2013, dans le cadre du FICFA où « 1:54 » était présenté.