
Olivier Asselin porte à l’écran la (fausse) vie de Fernande Bouvier
Un capitalisme sentimental, le plus récent film d’Oliver Asselin qui sera présenté au Festival du nouveau cinéma, se veut à la fois comique et tragique, inspiré pour la forme à la fois du cinéma d’avant-garde des années 1920 et du cinéma américain des années 1930. Le scénario, signé par le réalisateur et Lucille Fluet, qui défend le rôle de Fernande Bouvier, le personnage principal, raconte l’histoire d’une jeune femme de province sans qualités particulières, mais qui rêve d’art et d’amour. Le point de départ du film, confie Olivier Asselin, est une réflexion sur l’extension de la logique marchande.
8 octobre 2008, 07h45