Développer les marchés étrangers, ça demande de l’énergie et de l’argent
Pour bien planifier ses visées internationales, il faut absolument mobiliser la direction de l’entreprise. Sans engagement clair venant d’en haut, l’aventure n’aboutira pas. Et puis, il faut aussi de l’argent. Jean-François Arseneau, qui connaît bien la question, propose plusieurs pistes pour le financement d’un développement international. « Faire de l’exportation, ce n’est pas reposant, met-il en garde. Il faut faire attention que l’exportation n’hypothèque pas les autres activités de l’entreprise. »
9 janvier 2009, 07h48