![[La Boule de Cristal du CRIM] Hervé Fisher : « La mutation vers l’homme bionique a déjà commencé »](local/cache-gd2/fd/834df2ba3c41d444b49925e6f8128a.png?1726260784)
Dans le cadre de sa série Les Grands Communicateurs, La Toile des communicateurs donnera la parole à une personnalité bien connue de l’industrie du multimédia : Hervé Fischer.
Prométhée est de retour sous forme numérique, selon l’auteur Hervé Fischer, qui vient de publier chez vlb éditeur, CyberProméthée, une réflexion sur l’impact des nouvelles technologies dans nos vies.
Téléscience, une organisation à but non lucratif, responsable notamment de l’organisation annuelle d’un Festival international du film scientifique, poursuit sa réorganisation, annonce de nouveaux partenariats et une nouvelle direction.
À la déroute de l'industrie du multimédia au Québec, Hervé Fisher répond : "On a besoin de quelqu’un de responsable qui chapeaute toutes les initiatives en place afin d’assurer une certaine logique. On a besoin d’un guichet unique..." Sans blâmer les efforts gouvernementaux, le verdict d’Hervé Fischer quant à l’état de l’industrie du multimédia au Québec était dur, mais réaliste : « ça manque de cohésion », a-t-il conclu, demandant même la création « d’un ministre du multimédia » !
Hervé Fischer, dont les chapeaux actuels sont ceux de titulaire de la Chaire Daniel Langlois au sein de la faculté des Beaux-arts l’Université Concordia, président du MIM et président du FIAM, prenait la parole, ce mercredi 24 janvier 2001, devant une soixantaine de personnes, essentiellement des gens d’affaires - pour ne pas dire des messieurs cravatés - dans le cadre des déjeuners-causeries du Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM).
Conférence d’Hervé Fischer donnée le 24 janvier 2001 à l’invitation du CORIM, à l’Hôtel Omni de Montréal.
Du haut de ses sept ans, le Marché international du multimédia-est bien de son temps et forcément, bien branché sur la nouvelle économie et sur le commerce électronique qui devient l’axe principal de l’édition 2000. Pendant trois jours, du 4 au 6 octobre plus précisément, il sera possible de réfléchir sur quelques-uns des nombreux sujets découlant de ce thème universel : les défis, les enjeux, les occasions d’affaires, la facturation du commerce électronique.
Grâce à un don de 300 000 $ octroyé par Daniel Langlois, président fondateur de Softimage, l’Université Concordia possède maintenant son « média lab » québécois : la chaire de la Fondation Daniel Langlois en technologies numériques et en beaux-arts au sein de la faculté des beaux-arts.
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