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    [PODCAST] Lucill a suivi son instinct pour réaliser son deuxième album « Snake eyes » Lucill. Photo: William Gagné

    [PODCAST] Lucill a suivi son instinct pour réaliser son deuxième album « Snake eyes »

    11 mars 2022, 07h25
         |      Article rédigé par Arnaud Perron-Bouchard     

    L’auteur-compositeur-interprète Lucill vient de sortir son deuxième album, « Snake eyes », sur l’étiquette Coyote Records. Porté par la voix douce et apaisante du chanteur, cet opus propose des chansons pop et folk abordant son passé. Nous avons discuté avec le musicien pour connaître les inspirations et les intentions de sa récente création.

    Raphaël Bussières alias Lucill est originaire de Chibougamau. Autodidacte, il commence l’apprentissage de la basse dès un jeune âge et elle deviendra rapidement son instrument de prédilection. Il lance un premier EP éponyme en 2018, qui remporte le prix EP Indie Rock de l’année au GAMIQ 2019. Lucill propose ensuite un premier album intitulé « Bunny » en 2020.

    Dans « Snake eyes », Lucill raconte son passé et le chemin qu’il a parcouru jusqu’à aujourd’hui. « Je ne suis pas quelqu’un qui écrit à froid. Je prends le temps de digérer le tout. En français, je trouve ça délicat de trop écrire sur des émotions brutes. Je me sers d’images qui relatent le passé. Il ne s’est pas passé beaucoup de choses pendant la pandémie, donc cela allait de soi de puiser dans mes expériences », explique Lucill.

    Les thèmes de l’instinct et de l’impulsion ont guidé la démarche complète de ce nouvel album. Que ce soit dans les textes ou la construction des chansons, Lucill ne s’est pas imposé un style ou une manière d’écrire avant d’entamer l’opus. « Je ne me suis pas trop projeté en essayant de penser à quoi ressemblerait l’album une fois terminée. J’ai suivi mon instinct et mes inspirations du moment. Je n’ai pas trop réfléchi à la réponse du public », clarifie l’auteur-compositeur-interprète.

    Comme pour « Bunny », Lucill coréalise « Snake eyes » avec Francis Mineau. Les deux musiciens se connaissent bien et se complètent l’un l’autre. « Francis est un peu comme mon deuxième cerveau. On a développé une chimie depuis le premier album. Je voulais qu’il participe au deuxième pour aller plus loin dans cette collaboration », raconte Lucill.

    L’album a été réalisé en deux parties, de manières différentes. Les chansons aux arrangements plus fournis et complexes ont été enregistrées au studio Wild en compagnie de plusieurs musiciens et les autres ont été faites au studio Pierre Marchand. Le chanteur voulait enregistrer sa voix simple et posée dans différents environnements afin de saisir une ambiance sonore particulière pour chaque pièce. « Le processus d’enregistrement des voix a été plus long parce que je ne voulais pas les faire toutes au même endroit. Je les ai enregistrées seul chez moi et à différents studios pour qu’elles aient des ambiances et des sonorités uniques. C’est une expérimentation qui a été bénéfique pour l’album », justifie le chanteur.

    Deux vidéoclips sont déjà sortis pour « Snake eyes ». Celui de « Baisser les yeux » reprend en quelques sorte le concept du film « The Truman Show » et on voit le chanteur manger le menu complet d’un restaurant dans le clip de « Détours ». Ils ont été réalisés par Ariel Poupart. D’autres vidéoclips pour l’album sont en préparation.

    Les lancements de « Snake eyes » auront lieu le 9 avril au Théâtre Plaza à Montréal et à Québec au mois de mai (date à confirmer).

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