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    La compagnie française StarDust s’installe à Montréal Delphine Guyot Giler. Photo: Alexis Gagnon

    La compagnie française StarDust s’installe à Montréal

    19 novembre 2013, 00h12
         |      Article rédigé par Alexis Gagnon     

    L’édition 2013 du Sommet international du jeu de Montréal (MIGS) a fourni une belle occasion de visibilité à la jeune compagnie française StarDust, qui a récemment implanté une antenne à Montréal, à l’angle de la rue Clark et de l’avenue Mont-Royal.

    Spécialisée dans les tests de bon fonctionnement d’applications et de sites Web, la Société de Test StarDust (nom entier), qui emploie une vingtaine de personnes en France, compte déjà cinq employés montréalais et sera chez nous pour y rester, a indiqué la présidente-directrice générale et cofondatrice Delphine Guyot Giler. Cette dernière, qui a fondé son entreprise avec deux anciens collaborateurs en 2010, a par ailleurs élu domicile à Montréal, souhaitant faire de ce nouveau bureau StarDust « une société canadienne à part entière ».

    À terme, les locaux montréalais et le laboratoire de test afférent compteront eux aussi une vingtaine d’employés, selon le plan établi par l’entreprise. Si le site parisien renferme quelque 1 800 terminaux de « testing » (tablettes, téléphones, ordinateurs, etc.), Montréal en aura également plusieurs centaines à sa disposition ; cinquante seraient déjà opérationnels à l’heure actuelle.

    « Nous avons environ 150 clients, en majorité européens et français, a expliqué la décideure en interview. Dernièrement, nous avons percé le créneau des produits de luxe, en fournissant nos services à des marques comme Chanel, Hermès et Dior. Nous comptons également de nombreux clients dans le secteur bancaire, ou encore dans le commerce électronique et les jeux éducatifs. Nos tests de bon fonctionnement s’étendent même à certains accessoires, comme les kits mains-libres du fabricant Logitech, par exemple. »

    L’installation de StarDust à Montréal permettra de servir la clientèle plus efficacement, a continué Delphine Guyot Giler, qui compte faire jouer les fuseaux horaire en sa faveur : l’équipe montréalaise pourra prendre le relais de Paris, une fois la journée terminée là-bas, et ainsi livrer plus rapidement les résultats des essais et tests réalisés, a-t-elle dit.

    « Nos clients européens développent durant le jour, nous envoient les applications à tester le soir venu, ce qui permet à notre bureau montréalais de profiter des heures libres qui suivent. Ainsi, quand les développeurs concernés se lèvent le lendemain matin, ils ont déjà nos rapports de résultats dans leur boîte de courriel. Ils sont prêts à faire les corrections nécessaires. Cette mise à profit du décalage horaire fonctionne également à l’inverse, pour des clients canadiens et nord-américains qui auraient des tests rapides à faire faire, et que notre bureau en France pourrait prendre en charge. »

    Diplômée d’une école de commerce, Delphine Guyot Giler a travaillé pendant près de 10 ans dans différentes sociétés produisant des applications. Constatant qu’il existait un besoin, chez les producteurs souvent sous pression, de vérifier et valider le fonctionnement des différents titres développés, elle a renoncé à devenir elle-même productrice d’applications.

    « Il y avait un réel besoin dans le marché, a relaté la chef d’entreprise. La qualité des applis n’était pas toujours au rendez-vous en raison des échéanciers serrés, du manque de recul des producteurs, et de l’accès limité à certains types de terminaux. Ce que nous offrons permet de pallier à ces problèmes, et notre engagement, c’est de fournir un regard neuf et complètement neutre sur le produit. Nous sommes un tiers de confiance, voilà essentiellement notre positionnement. »

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