Marites Carino s’intéresse au toucher dans un monde ultra technologique 

Suivant une maladie de la peau qui couvrait tout son corps, mains et visage compris, Marites Carino a eu l’idée d’un projet un peu loufoque dans lequel les gens se rencontreraient par les mains. « J’avais des plaques partout et, chaque fois que je croisais quelqu’un, je ressentais un malaise », raconte-t-elle en entrevue. Ce qui a d’abord été le film « Hands On » s’est transformé en l’installation « Handshack ».
22 mars 2019, 07h30