Les exclusivités

Sujet à la fois complexe et crucial, l’appropriation culturelle à l’ère numérique a été abordée lors du Sommet META, organisé par le Studio Réverbère, et a permis de mieux comprendre ce qu’on entend par appropriation culturelle et comment l’éviter lors d’une conférence proposée par Jason Picard-Binet, président de Bastien Industries, une entreprise de fabrication de mocassins. Le conférencier explique que l’appropriation culturelle est son sujet préféré parce que cela existe encore et plus que jamais dans le monde numérique.

Pour les gestionnaires de réseaux sociaux, rien ne semble pire que de voir l’un des comptes de l’entreprise être piraté. Or, le piratage arrive à tout le monde. Lors d’une conférence dans le cadre d’Interface - Québec, Inès Kouamé, propriétaire de produit, et Florian Salvaterra, spécialiste de solutions chez Novatize, se sont demandé pour quelles raisons des entités malveillantes pirataient des comptes de réseaux sociaux, mais surtout, quoi faire lorsque l’on est piraté.

Lorsque l’on raconte des histoires, nous utilisons ce langage qu’est la narration et, à ce moment, il se passe quelque chose de différent des autres formes de connexion. Nous pouvons apporter ce moment unique d’engagement humain dans plus de parties du travail que nous accomplissons. C’est du moins ce que David Hutchens, PDG de The Storytelling Leader et conférencier, a expliqué lors d’une conférence dans le cadre de Interface - Québec, événement organisé par Capitale numérique.

Fondée en 2012, Aeponyx a développé, au fil des ans, une technologie de circuits intégrés photoniques (PIC) utilisée dans de nombreux secteurs, dont les télécommunications. Au départ, l’entreprise a été lancée pour commercialiser des solutions technologiques existantes, faisant ainsi ses premiers pas dans la revente de systèmes. Plus précisément, elle est dérivée de Teltech, une firme se spécialisant dans la fibre optique, explique son PDG Philippe Babin au Lien MULTIMÉDIA. Le 3 juin 2025, l’entreprise montréalaise a été acquise par la française Pasqal.

Un peu moins de la moitié - ou plus précisément 40 % - des travailleurs disent ne pas avoir assez de temps de récupération dans leur semaine pour réfléchir, pour voir venir, pour respirer un petit peu dans leur semaine. Pour Marie-Andrée Mackrous, cofondatrice de l’entreprise De Saison, il ne s’agit pas juste d’un chiffre, mais plutôt d’une culture de travail qui nous demande toujours davantage, sans nécessairement nous en donner plus. Lors d’Interface - Québec, événement organisé par Capitale numérique, la conférencière s’est demandé comment on pourrait, collectivement, prendre un pas de recul.

Aujourd’hui conceptrice de jeux vidéo chez Triple Boris, Claudia Ferland a rejoint les rangs du studio de Varennes en juin 2020, alors fraîchement diplômée du baccalauréat en game design de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). Grâce à son approche généraliste, elle a pu oeuvrer sur de nombreux projets autant à l’interne qu’en collaboration avec d’autres studios, une expérience qui lui a assuré une place de choix au développement de la première propriété intellectuelle d’envergure de son employeur, « Hack n’ Stack ». Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec la conceptrice pour en apprendre davantage sur ce jeu phare, dont la sortie est prévue au courant de 2026.