Les exclusivités
Chaque jour, depuis 25 ans, les journalistes du Lien MULTIMÉDIA rencontrent et donnent la parole aux acteur·trice·s de l'écosystème techno-créatif du Québec. Entrevues exclusives, reportages inédits, podcasts, interview vidéo, compte-rendu, analyse, réflexion, conseils d'experts. Les abonné·e·s du Lien MULTIMÉDIA profitent grâce à ces contenus originaux d'une veille stratégique de premier plan.
Cofondateur d’Emissive avec Emmanuel Guerriero en 2005, Fabien Barati était de passage à Montréal pour présenter « L’Horizon de Khéops : un voyage en Égypte ancienne », une expérience immersive présentée par le Studio PHI au Vieux-Port de Montréal. Le Lien MULTIMÉDIA a discuté avec lui pour mieux comprendre comment l’entreprise française est devenue maîtresse dans l’art de l’immersion.
Qui fait Quoi vient de publier l’édition de mars 2024 de sa revue, dont la mise en page a été entièrement revue, modernisée et améliorée. Disponible en ligne en format numérique PDF (67 pages), cette 437e édition de la revue Qui fait Quoi propose notamment un reportage sur les séries télévisuelles « Bonheur intérieur brut » (Tapis Rouge Films, TV5), « On ramassera demain » (Pamplemousse Média, Télé-Québec), David Gauthier à propos de « Big Brother Célébrités » (Entourage, Noovo), les films « Lucy Grizzli Sophie » réalisé par Anne Émond et scénarisé par Catherine-Anne Toupin (Azimut Films et KO24), en couverture, et « Casques bleuEs » de Louise Leroux (Shootfilms). En entrevue, Dominique Dugas nous confie qu’il planche sur sa planification stratégique de Québec Cinéma. À lire aussi dans ce numéro, deux articles sur la synchronisation de la musique en audiovisuel et un reportage sur la pièce « Ulster American » mise en scène par Maxime Denommée.
L’équipe du Lien MULTIMÉDIA vous présente la 207e édition de CONVERGENCE, le magazine de l’entreprise et de la culture numérique. Disponible en PDF à télécharger, ce magazine de 85 pages est optimisé pour lecture sur une tablette ou un écran d’ordinateur. Ce numéro met de l’avant des artistes et entrepreneur·e·s interviewé·e·s par nos journalistes, dont Stéphane Foenkino à propos de l’expérience immersive « Noire » au Centre PHI, Jacques Hermans, dg de la Guilde du jeu vidéo du Québec, Luc Sirois, innovateur en chef du Québec et dg du Conseil de l’innovation du Québec, Brigitte Monneau (SYNTHÈSE – Pôle Image Québec), Simon Dansereau (Triple Boris), Fleur Marty (Fang & Claw) et Christopher Chancey (ManaVoid Entertainement).
Enseignante pendant 18 ans au primaire, dont les 8 dernières années à l’École Sainte-Famille de Victoriaville, Marie-Hélène Hamel s’est intéressée avant l’heure au numérique en classe. Celle qui est aujourd’hui directrice adjointe dans une école secondaire a commencé par utiliser Scratch, un langage de programmation gratuit permettant de créer histoires, jeux et animations interactives, lorsqu’elle a eu son poste à Sainte-Famille. Elle a aussi initié, pendant l’heure du dîner, ses élèves au logiciel Audacity que les élèves utilisaient pour s’enregistrer.
Le Studio PHI - à ne pas confondre avec le Centre PHI - s’est donné pour mandat de créer et développer, ainsi qu’opérer et distribuer des oeuvres immersives à grand déploiement. Le studio oeuvre dans deux sphères, explique Julie Tremblay, productrice d’expériences de divertissement, la première pour créer et produire et la seconde pour opérer et distribuer. Par exemple, l’expérience « L’Infini », coproduite avec Felix & Paul Studios, s’inscrivait sur les deux fronts. De son côté, « L’Horizon de Khéops : un voyage en Égypte ancienne », s’inscrit dans la deuxième sphère.
La première édition de la Dictée PGL, mise en place par la Fondation Paul-Gérin-Lajoie, a eu lieu dans les écoles québécoises en 1991, soit il y a 33 ans. Le concept consistait à créer du matériel pédagogique et de recueillir des fonds par une « cueillette de partage » réalisée par les élèves. Pendant la pandémie, la Fondation s’est aperçue que la popularité de la dictée avait perdu des plumes, surtout dans les écoles défavorisées du Québec, alors que les enseignants ont dû se tourner vers le numérique et que certains jeunes n’étaient pas équipés à la maison.