Les exclusivités
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À la suite d’une maîtrise de Sciences et Techniques Optroniques puis d’un DEA (diplôme d’études approfondies) en Microélectronique à l’Université Paris-Saclay, suivi d’un diplôme d’ingénieur, Techniques optroniques à Polytech Paris-Saclay, Valérie Doye a travaillé pendant trois ans comme ingénieur Support & Validation/Avant-ventes Data et Sécurité chez Alcatel-Lucent Enterprise. Dès le début de sa carrière, en 1998, elle a commencé à s’intéresser à la cybersécurité.
La créativité numérique s’avère un vaste sujet qui peut être envisagé au sens artistique, mais on peut aussi penser à la créativité plus artisane, c’est-à-dire qui est partagée, estime Véronique Marino, cofondatrice de LaCogency. La créativité numérique est à la fois tournée vers les artistes, mais aussi orientée vers des généralistes éclairés. On peut aussi y entrer tout l’aspect de développement de logiciels ou encore l’intelligence artificielle générative.
De nombreux cinéphiles, invités d’honneurs et dignitaires ont rempli la salle du Monument national ce mercredi le 9 octobre, pour assister à l’ouverture du 53e Festival du nouveau cinéma (FNC) et à la projection du film « Une langue universelle » de Matthew Rankin, représentant du Canada dans la course à l’Oscar du meilleur film international. Des « bogues techniques » ont cependant coupé court à l’événement une dizaine de minutes après le début du visionnement. Qui fait Quoi était sur place pour partager l’engouement suscité par cette soirée.
Clément Roy a grandi à Montréal et a quitté l’école à l’âge de 17 ans pour prendre le temps de voyager, de voir le monde. Très jeune, il s’intéresse à la culture et travaille comme bénévole dans plusieurs organisations culturelles. À travers cette première étape de son parcours, il crée, à l’âge de 20 ans, sa première entreprise en communication et marketing. De fil en aiguille, il a développé une appréciation pour le milieu de la technologie et le milieu philanthropique.
L’entreprise montréalaise difuze – notamment spécialisée dans les opérations liées à la postproduction sonore – a converti son plus grand studio de mixage afin d’obtenir la certification Dolby Atmos pour le cinéma. Un changement de paradigme qui permet au mixeur sonore principal de l’établissement, Stéphane Bergeron, de disposer d’une « liberté créative sans précédent ». Qui fait Quoi est allé à sa rencontre dans son studio sur la rue Sainte-Catherine Ouest à Montréal pour rendre compte de sa perspective.
Après plus de cinquante ans d’existence et plusieurs modifications – souvent réductrices – le programme de financement pour la recherche scientifique et le développement expérimental (RS&DE) fait l’objet d’une consultation lancée par le gouvernement fédéral au mois de février. Une initiative que l’économiste-conseil Luc Michaud perçoit comme trop peu connue du milieu des TI, qui en est pourtant un des plus grands bénéficiaires potentiels. Notre journaliste, Sophie Bernard, est allée à sa rencontre pour en apprendre plus sur la situation.