Les détaillants peuvent tirer des leçons de Pokémon GO
« Cet été, deux phénomènes ont eu lieu : Céline Dion a chanté chez Schwartz’s et des petites boules rouge et blanche ont pris l’espace public d’assaut », lance d’entrée de jeu Rudy Abitbol, directeur associé chez altima° Canada. Invité aux Rendez-vous OFF eCOM Mtl, pour parler de l’effet Pokémon Go sur le « Drive to store » (D2S), le spécialiste du commerce électronique a dressé un portrait des avantages d’expérience comme Pokémon GO pour attirer les clients en magasins. Les commerces ont commencé à se transformer en PokéStop où les joueurs peuvent trouver des leurres.
16 septembre 2016, 07h45