Les exclusivités

Français d’origine installé au Québec depuis six ans, Stéphane Vial a commencé sa carrière comme professeur de philosophie en France il y a de nombreuses années. Il a également étudié en psychologie clinique et a exercé un temps comme psychologue. Sa vie s’est orientée vers d’autres univers alors qu’il était prof de philo dans une école de design à Paris au milieu des années 2000, une époque où le Web et le numérique se trouvaient en plein essor dans la société. Ce qui l’a passionné et l’a poussé vers le design Web. Aujourd’hui, il est professeur à l’École de design de l’UQAM.

Respectivement associé de la branche canadienne de la firme légale Norton Rose Fulbright et vice-président de l’agence Tact, Frédéric Plamondon et Sébastien Fassier sont appelés quotidiennement à gérer des crises de toutes sortes, autant pour des entreprises publiques que privées. Une expérience qui leur a permis de constater la croissance du nombre de cybercrises dans toutes les sphères entrepreneuriales, entraînée par la démocratisation des outils numériques et de l’intelligence artificielle. Le duo a profité de sa tribune au dernier événement Vision PDG – organisé par l’Association québécoise des technologies (AQT) – pour partager sa perspective à ce sujet à une assemblée de leaders technos lors d’un atelier, auquel Le Lien MULTIMÉDIA a assisté.

Professeur associé au département d’informatique et génie logiciel de l’Université Laval et consultant en intelligence artificielle chez NQB.AI, Patrick Dallaire plonge dès 2006 dans l’apprentissage automatique avec un premier projet complexe : développer un réseau de neurones à la main, sans les outils modernes. Il était de passage au Rendez-vous numérique, organisé par Capitale numérique, pour parler des possibilités actuelles de développer des systèmes intelligents sans passer par l’étape traditionnelle, en explorant les opportunités et les limites de ces solutions prêtes à l’emploi.

À force de parler d’intelligence artificielle à gauche et à droite et dans tous les domaines, le sensationnalisme a-t-il détruit l’image de l’IA ? Lors d’un échange pendant le Rendez-vous numérique, organisé par Capitale numérique, Marie Gallagher, responsable, Solutions d’affaires IA et Remi Dion, associé et VP IA appliquée chez Explorai, ont joué, elle à l’incrédule, lui à l’enjoué pour répondre à cette question.

Depuis 2018, l’Association québécoise des technologies (AQT) accorde chaque année des bourses totalisant près de 6000 $ en services à une poignée de PME techno émergentes, afin de soutenir leur développement tout en leur offrant une visibilité accrue. Les dirigeants lauréats du programme Jeunes entreprises 2024 ont eu l’opportunité d’exposer leurs activités aux membres du regroupement lors de la 24e édition de son événement Vision PDG, qui s’est déroulé cette année à Mont-Tremblant. Le Lien MULTIMÉDIA était sur place pour rapporter les créneaux de ces nouveaux acteurs à surveiller sur la scène numérique du Québec.

Depuis des décennies, les entreprises québécoises ont développé une forte expertise en développement de logiciels et de solutions numériques, mais le Québec pourrait se positionner à l’avant-garde de la révolution industrielle et bâtir les champions technologiques de demain grâce au « hardtech ». Lors du Rendez-vous numérique, organisé par Capitale numérique, trois experts, Christian Beaubien, entrepreneur en résidence chez Garage&co, George Korkejian, cofondateur et chef des opérations de Rozvelt, et Ariane Bourget, cofondatrice et cheffe aux opérations de Systèmes Skywalk, se sont penchés sur la question lors d’une discussion animée par Laurence Audette-Lagueux, directrice générale de Garage&co.