Larissa Corriveau dans «Membrane».
Photo: Maxime Paré Fortin
Les nombreux défis et plaisirs de jouer « Membrane », selon Larissa Corriveau
Le Théâtre Prospero propose « Membrane » jusqu’au 10 février, une adaptation pour la scène de Rébecca Déraspe, à partir d’un roman queer de science-fiction (publié en 1996) du Taïwanais Chi Ta-Wei. Cédric Delorme-Bouchard signe la scénographie, la conception des éclairages et la mise en scène de cette allégorie futuriste qui nous transporte dans le monde de Momo, un personnage séparé de sa mère depuis plus de 20 ans. Agissant comme esthéticienne, Momo utilise une membrane pour traiter ses client·e·s, mais s’en sert également pour fouiller leurs informations, leurs données personnelles.
