Le Lien MULTIMÉDIA comprend:

  • 50 numéros du bulletin-HTML
  • Mot de passe pour www.lienmultimedia.com
  • Quotidien par courriel
  • 12 numéros du magazine CONVERGENCE
  • 1 Guide de l’industrie::NUMÉRIQUE
  • 1 Guide de l’industrie::WEB
  • 1 Guide de l’industrie::MOBILE
  • 1 Guide de l’industrie::JEUX VIDÉO
  • 1 Guide de survie::START-UP

CONNEXION

  • Abonnement
  • Publicité
  • Contact
  • Guide industrie
  • Vidéos
  • Podcasts
  • magazine CONVERGENCE
  • Boutique
  • Numérique
  • Jeux Vidéo
  • Mobile
  • Animation
  • Informatique
  • Arts Médiatiques
  • Marketing
  • Musique
  • Industrie
  • Réalité virtuelle
  • Intelligence artificielle
  • Startups
  • Artisans du numérique
  • Conseils d’experts
  • Exclusifs
  • RECEVEZ GRATUITEMENT
    LE BULLETIN QUOTIDIEN [voir un exemple]

    Bo Diaw chante « Jambaar » pour nous réunir les uns des autres Bo Diaw. Photo: Courtoisie

    Bo Diaw chante « Jambaar » pour nous réunir les uns des autres

    5 novembre 2021, 00h25
         |      Article rédigé par Lyota Bonyeme     

    L’artiste d’origine sénégalaise Bo Diaw lance le nouveau clip « Jambaar », la chanson titre de l’album éponyme qui sortira en février prochain sous l’étiquette Disques Nuits d’Afrique. « Jambaar » signifie guerrier en wolof, la langue maternelle du chanteur. Le simple est une apologie des ancêtres adressée aux nouvelles générations, mais aussi un clin d’oeil au parcours des immigrants. Après les événements tendus des dernières années, Bo Diaw souhaite véhiculer un message rassembleur avec son nouveau simple.

    Né à Dakar, la capitale du Sénégal, Bo Diaw est arrivé à Montréal en 2006. Issu d’une famille d’artistes, il a vite suivi les traces de son père, Abdou Diaw, artiste accompli dans son pays natal, qui était dans le domaine du cinéma. Dès l’âge de 15 ans, le jeune Bo Diaw s’est mis à faire des petits sketchs, mais ce n’est qu’après son arrivée au Canada qu’il se lance dans la musique.

    L’auteur, compositeur et interprète décrit son style musical comme une fusion, une rencontre de différents styles : pop, dance, reggae, dancehall, afrobeat, mais aussi des registres plus traditionnels. L’album « Jambaar » aura aussi une direction artistique très vaste qui représente les goûts divers de l’artiste et son désir de rapprocher les uns comme les autres. « Avec "Jambaar", vous allez voir Bo Diaw sous toutes ses couleurs, nous dit le chanteur, avec des airs plus festifs, rassemblés dans cet album qui représente qui je suis. »

    « Moi, ma mission, c’est "l’union fait la force". L’amour n’a pas de frontière et de couleur. Dans ce nouvel album, les auditeurs pourront entendre toutes sortes de musiques "colorées", ajoute Bo Diaw. » L’artiste promet une musique facile d’écoute avec des messages forts en anglais, en français et en wolof, tout comme son dernier simple « Jambaar. » Chanté en wolof, ce titre raconte l’histoire d’un guerrier qui retrouve les valeurs et la résilience de ses ancêtres. La chanson titre de son prochain album peut aussi être définie comme une apologie des ancêtres et de leurs valeurs. « Avec "Jambaar", j’ai voulu rendre hommage aux ancêtres, explique le chanteur, car c’est grâce à leur résilience, leur force, et tout ce qu’ils nous ont laissé comme bagage que l’on est qui on est aujourd’hui. Je voulais raconter cette histoire aux plus jeunes pour leur dire qu’il faut qu’on travaille fort, pour passer le flambeau. »

    La pièce musicale est aussi un clin d’oeil à tous les immigrants qui ont laissé derrière eux beaucoup de choses pour la chance d’avoir des vies meilleures sur de nouvelles terres. « Jambaar » se veut une ode à tous ceux qui ont le courage d’accomplir leurs visions à terme. Pour le chanteur, un guerrier est quelqu’un qui a le courage de ne jamais lâcher et qui se bat jusqu’au bout pour que ses idéaux se réalisent un jour.

    « On vit une ère où les gens se cherchent, où l’on méprise les gens. Je pense qu’il est temps qu’on s’unisse et qu’on avance ensemble, dit le chanteur. Aujourd’hui, on voit beaucoup de division pour des futilités, comme la couleur de la peau, la religion ou bien les idéologies, alors qu’au bout du compte on est tous humains. L’homme est le remède de l’homme, poursuit-il. S’il y a une chose que la pandémie nous a montrée, c’est qu’il faut être ensemble, vivre ensemble. C’est dans cette optique-là que je veux rassembler les gens, leur faire comprendre que l’union fait la force et que l’on peut surmonter ces différences juste en partageant nos univers. »

    « La terre nous appartient tous, reprend Bo Diaw. Un Québécois peut aujourd’hui avoir des terres au Sénégal et y investir dans des entreprises. Pourquoi pas un Sénégalais qui vient au Québec ? On est tous ensemble. »

    L’artiste prépare une tournée pour élargir son public et avoir la chance de partager son expérience avec le monde. Il débute sa tournée canadienne le 4 novembre à Calgary et aura quelques dates de concert dans les prochains mois avec les Disques Nuits D’Afrique.

    Sur le même sujet

    Intéressé.e à reproduire un article, une photo ou une vidéo ?

    En bénéficiant de notre licence de reproduction, vous pourrez :

    • publier un article dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • en modifier la longueur
    • recevoir les photos (et vidéos, si applicable) en haute résolution
    • publier les photos (et vidéos, si applicable) dans vos sites Web, dans vos infolettres, dans vos réseaux sociaux, etc.
    • le contenu devient public sur notre plateforme, ce qui vous octroie encore plus de visibilité

    Sous réserve que les droits sur les contenus que vous souhaitez reproduire (textes, photos ou vidéos) nous appartiennent.

    DERNIERS ARTICLES

    L’AMJ présente son Prix Jeunesse International 2024

    L’AMJ présente son Prix Jeunesse International 2024

    Suite
    6 novembre 2024, 00h00
    JeanDo chante « Heureusement que je suis heureux »

    JeanDo chante « Heureusement que je suis heureux »

    Suite
    6 novembre 2024, 00h00
    Steve Hill lance l’album « Hanging on a String »

    Steve Hill lance l’album « Hanging on a String »

    Suite
    6 novembre 2024, 00h00
    Quand l’art public rejoint sa cible

    Quand l’art public rejoint sa cible

    Suite
    5 novembre 2024, 03h00