Dans la salle
Les spectateurs sont submergés par des images pornographiques et certains se regardent, un peu mal à l’aise.
[Souvenirs d’Elektra] Louis Dufort n’a pas peur de choquer avec Flesh
Avec Flesh, Louis Dufort voulait offrir une expérience de la proximité de la peau, du corps et du mouvement. Première d’une série de miniatures, cette œuvre utilise la pornographie comme matière première. La ressource est traitée ici de manière simultanée et en temps réel, rappelant (un peu trop ?) le principe de la synthèse granulaire. Louis Dufort nous confirme ici que son travail sonore est plus original que ses images.