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En tant que documentariste, Vali Fugulin s’est donnée pour mot d’ordre de constamment s’intéresser au ressenti d’autrui, de comprendre et de partager les récits qui caractérisent l’être humain, peu importe sa provenance et ses convictions. Un paradigme qu’elle explore sous des formes « non linéaires » depuis une quinzaine d’années et qu’elle a poursuivi dernièrement en créant « Traces : Le processeur de peine », une oeuvre immersive en réalité virtuelle qui aborde et discute de la thématique universelle du deuil. Le Lien MULTIMÉDIA en a discuté avec sa créatrice à quelques jours de sa première canadienne, dans le cadre de la section UXdoc des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM). [suite]

Bien qu’elle ait d’abord étudié la musique et le cinéma lors de son parcours académique, Marianne Kake retrace l’origine de ces intérêts à sa passion pour le jeu vidéo et ses divers composants audiovisuels. Un médium qu’elle a formellement commencé à explorer en 2018 dans les locaux montréalais de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), avant de rejoindre cinq ans plus tard les rangs du studio indépendant Le Catnip Collective. Aujourd’hui, la conceptrice de jeu et artiste 3D endosse le rôle de gestionnaire de projet d’« Architect of Giants », un jeu en ligne coopératif qu’elle a présenté à l’industrie au Sommet international du jeu vidéo de Montréal (MIGS). Le Lien MULTIMÉDIA s’est entretenu avec elle pour faire le point. [suite]

La Ville de Richelieu invite la population à découvrir et à télécharger son tout nouvel outil numérique : bciti+. Grâce à cette application, les citoyens peuvent désormais rester connectés en tout temps à leur Ville et à ses services. Avec bciti+, l’ensemble des outils municipaux – tels que les cartes citoyennes, Amilia et Biblio – sont réunis sous un seul et même profil numérique. [suite]

Après le succès d’Oskar, son premier film d’animation au fusain, Max Vannienschoot effectue son retour sur grand écran avec un court métrage d’animation expérimentale, « Nu·e·s », qui ravive son envie de mettre ses propres histoires à l’écran après un épuisement créatif. Qui fait Quoi a rencontré l’artiste au Festival du nouveau cinéma. [suite]

À la base, le Belge David Bianchi vient du milieu de la finance. Il a travaillé pendant quelques années dans des fonds spéculatifs à Luxembourg avant de démarrer l’entreprise Alphacom, qui offre une connectivité sécurisée à 360° sur une plateforme d’agents mobiles englobant tous les appareils (PC, tablette, téléphone intelligent, iOS, Android) et tous les canaux (VoIP, RoIP, chat, vidéo). Le Lien MULTIMÉDIA l’a rencontré alors qu’il était de passage à MTL connecte. [suite]

La Maison Théâtre présente son spectacle du temps des Fêtes, « Actapalabra », du 10 décembre 2025 au 4 janvier 2026, une production du Théâtre Am Stram Gram (Suisse). [suite]

Le mandat du Bureau de l’écran autochtone consiste à défendre et à soutenir la souveraineté narrative autochtone sur les écrans, à la télévision, au cinéma, mais aussi dans les autres formes de narration, comme les balados, et ce, à toutes les étapes, du développement à la production en passant par le marketing et la distribution. Pour y arriver, des programmes de financement ont été mis en place, explique Jean-François O’Bomsawin, directeur du marketing et des communications du Bureau de l’écran autochtone. [suite]